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cellulite

infectious cellulitis – Cellulite infectieuses

La cellulite infectieuse est une infection par des bactéries qui se propagent dans et sous la peau ; elle s’attaque aux tissus « mous », comme la peau elle-même, le tissu sous-cutané et les graisses sous-jacentes. Elle concerne aussi les espaces cellulaires entre les organes dans le corps : le médiastin par exemple (entre la peau, les poumons et le cœur). Elle survient souvent à partir d’une plaie ou d’un bouton mal traités, d’interventions médicochirurgicales et surtout dentaires mal encadrées. Les noms qu’on lui donne varient en fonction des localisations de l’infection.

Risques

Les risques sont l’extension incontrôlable de l’infection : localement dans le tissu cutané (la gangrène) et aux organes (la méningite), ou dans tout le corps par le sang (la septicémie). Le décès n’est pas rare malgré les progrès de la réanimation médicale : un malade sur sept en septicémie (chiffres InVeS publiés en 2005).
Les raisons de cette mortalité élevée sont multiples. Les bactéries ont une toxicité propre (comme le méningocoque) et résistent de plus en plus aux antibiotiques (comme le staphylocoque). Ensuite, les personnes fragiles ou temporairement fragilisées sont nombreuses : personnes âgées, enfants, malades chroniques, malades déjà infectés (sida, paludisme)…

La cellulite infectieuse n’est pas contagieuse à distance dans la mesure où c’est une infection piégée dans le corps sous la peau, mais quand la peau se détériore les bactéries se montrent à l’air libre, prêtes à contaminer les imprudents. L’hygiène et la protection antibactérienne s’appliquent donc avec rigueur : lavage des mains et de tout ce qui entre en contact, port de gants et de masque, vêtements et effets personnels réservés et traités à part.

Infectious cellulite is an infection by bacteria which propagate in and under the skin; it attacks the “soft” tissues such as the skin itself, the subcutaneous tissue and underlying fat. It also relates to the cellular spaces between the organs in the body: the mediastinum for example (in the skin, lungs and heart). It often arises from a wound or mistreated button of medical and surgical interventions and especially poorly supervised dental. The names given to it vary depending on the infection sites.

Risks

The risks are the uncontrollable spread of infection: locally in the skin tissue (gangrene) and organs (meningitis) or throughout the body by the blood (sepsis). The death is not uncommon despite advances in medical intensive care: a patient in seven septicemia (Inves figures published in 2005).
The reasons for this high mortality are multiple. Bacteria have their own toxicity (such as meningococcus) and resist increasingly antibiotic (such as staphylococcus). Then temporarily fragile or vulnerable people are numerous: the elderly, children, chronically ill, already infected patients (AIDS, malaria) …

The cellulitis is not contagious remote since it is an infection in the body trapped under the skin, but when the skin deteriorates bacteria show to air, ready to infect the unwary. The hygiene and antibacterial protection therefore apply rigorously: washing hands and all that comes into contact, wearing gloves and mask, clothing and personal items reserved and treated separately.

HE Lemongrass

Indications (VT +) :

  • Insuffisances digestive et hépatique ++
  • Cellulite ++
  • Artérite +
  • Dystonie neurovégétative +++

Contre-indications : Aucune connue, mais irritante en usage externe





HE Sauge officinale

Indications (VT +) :

  • Grippe, bronchite, sinusite
  • Aphtose, entérite virale, insuffisance biliaire +++
  • Méningite virale, névrite virale ++
  • Polyarthrite rhumatoïde +
  • Aménorrhée, oligoménorrhée, préménopause +++, herpès génital, condylome, lésions planes, leucorrhées
  • Herpès labial ; cellulite ; plaies
  • « Mauvaise circulation »

Contre-indications : Grossesse, jeune enfant (neurotoxique, abortive)

Pathogénésie : malformations cardiaques quelquefois rencontrées chez les bébés dont la mère à usé de cette plante durant toute la grossesse ; crise cardiaque chez les sujets ayant utilisé cette plante durant des années.





HE Cèdre de l’Himalaya

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Indications (VT +) :

  • Athérosclérose ++
  • « Cellulite » +++, rétention hydrolipidique +++

Contre-indications : Bébé, grossesse (neurotoxique, abortive)

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Lierre grimpant

De tout temps, le Lierre attira l’attention de l’homme. Les anciens Egyptiens l’avaient consacré à Osiris. Pour les Grecs, il préservait de l’ivresse et symbolisait la victoire du guerrier. C’était aussi une des plantes de la pharmacopée des druides. Attribut des petites divinités secondaires, le Lierre était utilisé au point de vue médicinal contre la toux, la coqueluche et – déjà – contre la cellulite ; mais il fallait cueillir ses feuilles sur la tête d’une statue et les appliquer sur le front, enfermées dans une étoffe de couleur rouge…
L’écorce fut utilisée contre la syphilis et contre les dartres.

Les baies sont purgatives et émétiques. Employées autrefois en infusion, elles ne sont plus jamais utilisées de nos jours, car elles sont toxiques et ont déjà causé la mort accidentelle d’enfants imprudents.
Le bois du Lierre était renommé, en médecine populaire, contre la coqueluche et les toux quinteuses : certains paysans utilisaient un gobelet creusé dans le tronc d’un vieux Lierre et y mettaient à macérer du vin destiné au malade. Au Maroc, de même, on utilise couramment l’extrait du vieux tronc de Lierre. Cette observation a conduit un médecin de Bordeaux, François Leuret, à mettre au point une teinture de Lierre grimpant contre les quintes de toux, et un laboratoire pharmaceutique à commercialiser l’extrait.
Mais la grande victoire thérapeutique du Lierre demeure la cellulite. Beaucoup de pommades anticellulites du commerce sont à base de Lierre grimpant. La plante détend la peau crispée et surtout calme les douleurs provoquées par la cellulite. Elle diminue l’empâtement de façon notable et assouplit les régions envahies par les nodosités et les placards caractéristiques de cette maladie du tissu conjonctif. Elle agit de façon remarquable aussi sur les vergetures provoquées par la distension des téguments (grossesse, obésité). C’est, en plus, un excellent remède des douleurs rhumatismales, des névralgies, du lumbago, de la sciatique.





Verge-d’or

La Verge-d’Or est à la fois astringente, ce qui la fait utiliser dans les diarrhées diverses, et diurétique, donc recommandée dans les maladies des reins et de la vessie. Elle possède, d’autre part, une action cholérétique et antiallergique non négligeable.

On l’emploie dans l’entérite muco-membraneuse, la diarrhée des tuberculeux, les diarrhées des enfants au cours de la dentition, les entérocolites. Elle est très efficace dans la cystite, la gravelle, la néphrite calculeuse, l’albuminurie, l’hydropisie.

Puisqu’elle agit aussi dans les inflammations intestinales, on l’emploiera, de préférence, lorsque l’affection des reins ou de la vessie s’accompagne de colite (colibacilloses). Augmentant modérément le flux biliaire, elle draine ainsi le foie et les reins, ce qui la rend précieuse dans toutes les maladies de surcharge (pléthore, cellulite, etc.).

A l’extérieur, la plante était jadis utilisée comme vulnéraire pour aider la cicatrisation des plaies, nettoyer les vieux ulcères des jambes et ceux de la bouche, raffermir les gencives qui saignent.




Pissenlit

On utilise les feuilles et les racines, mais, en fait, les racines sont plutôt considérées comme médicales et les feuilles comme alimentaires : disons qu’on peut considérer ces dernières comme le type même du médicament-aliment. Dans les temps lointains, le suc du Pissenlit était considéré comme le spécifique des troubles de la vue. Il semble que cette vertu n’ait pas été démontrée.

Depuis bien longtemps, la médecine populaire reconnaissait à la racine de Pissenlit le pouvoir de stimuler les fonctions hépatiques. Cette propriété a été confirmée par Vignal, Brisemoret et Leclerc, qui l’employaient avec succès contre les congestions du foie. Des travaux ont prouvé que le Pissenlit agissait en augmentant la quantité de bile formée (une décoction de feuilles fraîches double le volume de bile excrétée, une décoction de racines fraîches le quadruple). En même temps, le Pissenlit augmente la contractilité de la vésicule biliaire et agit sur le foie lui-même. Il n’est donc pas étonnant que sa réputation soit si grande dans le traitement de l’insuffisance hépatique, des crises hépatiques douloureuses et des ictères. De plus, par l’intermédiaire de la fonction biliaire stimulée, il régularise les fonctions intestinales et combat remarquablement la constipation. Il agit efficacement contre différentes dermatoses et la cellulite, souvent en rapport avec une insuffisance hépatique. On l’utilise aussi dans le traitement de l’hypercholestérolémie et, par conséquent, de l’athéromatose.

Quant à ses vertus diurétiques, elles sont réelles et connues depuis longtemps, puisqu’il leur doit son nom imagé.

Le Pissenlit possède, en outre, des vertus apéritives et toniques ; c’est un reconstituant et un régénérateur du sang, qu’on recommande depuis bien longtemps contre les « pâles couleurs ».

Son usage procure aussi un effet embellissant, car on assiste rapidement à un éclaircissement du teint et au nettoyage de la langue. De plus, son suc frais appliqué sur les taches de rousseur les fait disparaître.


HE Crithme marine

Indications (VT +) :

  • Rétention hydrolipidique « cellulite » ++
  • Entérocolite parasitaire +
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Contre-indications : Non connues

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Ulmaire

A la renaissance, le Flamand Dodoens, dans sa Pratique médicale des simples, où il passe en revue la plupart des plantes alors connues, cite l’Ulmaire comme remède efficace de la dysenterie.
Efficace, en effet, contre cette maladie et les diarrhées, le Reine-des-Prés l’est aussi dans l’inflammation de l’estomac, certaines affections cardiaques, les vieux catarrhes rebelles, l’insomnie, les vers intestinaux. Mais toutes ces qualités sont dépassées de loin par les vertus principales de la plante : sudorifiques, diurétiques, antirhumatismales. Utilisée d’abord contre l’hydropisie par les Anciens, ceux-ci découvrirent ensuite qu’elle était un remède quasi miraculeux des douleurs des jointures. Les fleurs de Reine-des-Prés fraîches (ou séchées depuis moins d’un an) ont d’indéniables propriétés diurétiques, comme l’a bien démontré G. Benoist, dans sa thèse de doctorat en pharmacie (Nancy, 1935). Elles éliminent puissamment l’acide urique. Antispasmodiques et sédatives des douleurs urinaires, elles sont aussi recommandées contre la goutte, les douleurs rhumatismales, la cellulite, l’artériosclérose, toutes ces maladies dues à une surcharge de l’organisme en produits de déchet. La plante, les fleurs surtout, contient du salicylate de méthyle et de l’aldéhyde salicylique, voisins de l’aspirine : on ne peut s’étonner, par conséquent, de son efficacité dans les rhumatismes et contre les douleurs occasionnées par ceux-ci.

Une autre Spirée, la Filipendule (Spiraea filipendula), est une plante des bois, voisine de la Reine-des-Prés, qui possède des fleurs blanches analogues (on la cultive parfois dans les jardins pour l’élégance de ses fleurs). Elle doit son nom à de gros tubercules suspendus à des racines filamenteuses.



HE Cèdre de latlantique ou de l’Atlas

Indications (VT +) :

  • Athérosclérose ++
  • « Cellulite » +++, rétention hydrolipidique ++, plaies
  • Bronchite, tuberculose
  • Dermatoses
  • Gonorrhée

Contre-indications : Bébé, grossesse (neurotoxique, abortive)





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