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Syndrome du canal carpien

Le syndrome du canal carpien est un ensemble de signes fonctionnels et physiques lié à la souffrance du nerf médian au niveau du poignet par sa compression (par élévation de la pression au sein du canal carpien).

Le sujet atteint ressent un engourdissement (hypoesthésie), une dysesthésie, une paresthésie (fourmillements) des doigts “médians”, une douleur de la main irradiant au bras et un déficit moteur, avant tout, des antépulseurs de la colonne du pouce.

Le canal carpien est la zone de transition entre l’avant-bras et la main. Il est situé dans le talon de la main. Il forme un défilé ostéofibreux inextensible, plus étroit à ce niveau qu’à l’avant-bras ou la main.

Cette zone représente une arche, délimitée par la deuxième rangée des os du carpe (entre l’hamulus de l’hamatum et le trapèze) et fermée à la face ventrale par le ligament annulaire antérieur du carpe (également appelé retinaculum des fléchisseurs).

À l’intérieur de cette structure circulent les tendons fléchisseurs des doigts (les extrinsèques de la main : long fléchisseur du pouce et huit tendons fléchisseurs superficiels et profond des quatre doigts longs) et le nerf médian. L’artère et le nerf ulnaire (cubital) cheminent dans une loge indépendante située sur le bord interne : la loge de Guyon. Le fléchisseur radial du carpe (FRC) a sa propre loge, à l’intérieur de la concavité du trapèze.

Lorsqu’il existe un œdème ou une atteinte inflammatoire de la gaine des muscles fléchisseurs (synovites), il en résulte une augmentation de la pression intracanalaire entraînant une compression du nerf médian, responsable du syndrome. Cette compression peut entraîner jusqu’à la lésion irréversible du nerf.

Épidémiologie

L’incidence annuelle aux États-Unis est d’un peu plus de 400 cas pour 100 000 habitants, dont un tiers se fait opérer. Il atteint deux fois plus la femme et survient à un âge plus avancé chez l’homme. Plus de la moitié des cas sont bilatéraux. Il représente près de 90 % des causes de compression basse du nerf médian.

Il s’agit de l’atteinte la plus répandue en France en médecine du travail parmi les troubles musculosquelettiques. La compression du nerf médian passerait à la chronicité (arrêts de travail en série…) avec handicap avéré dans 5 à 10 % des cas.

Causes et facteurs favorisants

Le syndrome du canal carpien a pour origine une compression du nerf médian dans un canal inextensible, constitué par les os du carpe en arrière et par le ligament annulaire antérieur du carpe en avant.

Il existe 2 mécanismes différents de compression :

  • Par augmentation du volume des tendons (suite une sollicitation importante, gestes répétitifs, combinés à de la force, tractions et frottements des tendons trop importants). Quand ces structures s’inflamment, elles enflent (tendinites ou ténosynovites), elles compriment le nerf médian. Et plus elles frottent les unes contre les autres, plus le réflexe inflammatoire est entretenu.
  • Par diminution du diamètre du canal carpien, quand la face antérieure du poignet est en appui sur une surface (sur le bord d’un bureau par exemple, ou lorsque des frappes régulières sont appliquées avec la paume de la main), ou quand le poignet est en hyper-extension : certains os du carpe vont glisser vers l’avant comme l’hamatum couplé au fait que le ligament annulaire se tend faisant comme la corde d’un arc, diminuant ainsi le diamètre du canal, et comprimant le nerf médian et les tendons sur les os du carpe.
    Il existe en théorie de multiples facteurs favorisants connus et décrits mais relativement rares : anomalies osseuses saillant dans le canal, modifications hormonales chez la femme, dialyse rénale, obésité (surtout chez le patient jeune), etc. Il semble exister également une prédisposition génétique.

Le syndrome est plus fréquent en cas de diabète, d’hypothyroïdie, de myélome ou de sarcoïdose. La grossesse peut être un facteur favorisant.

Des éléments faisant partie de l’environnement de travail peuvent aussi expliquer l’apparition de ce syndrome : travail au froid, ergonomie du poste de travail…

Symptômes

Les symptômes siègent sur la totalité ou sur une partie seulement du territoire anatomique du nerf médian. Ils prédominent sur la face palmaire des trois premiers doigts et sont parfois décrits par les malades comme atteignant toute la main. Le syndrome du canal carpien se présente de manière bilatérale dans plus de la moitié des cas.

Le syndrome s’exprime par des picotements, des engourdissements, des fourmillements ou des décharges électriques dans les doigts. Il oblige le malade à mobiliser sa main. Le malade dit souvent que sa main lui paraît gonflée, engourdie, endormie, morte, que sa circulation semble arrêtée, qu’il se sent maladroit. Il existe une faiblesse de la pince pouce-index, une diminution de la masse musculaire (amyotrophie) de l’éminence thénar (sous le pouce), une sensation de doigts boudinés. L’apparition est habituellement progressive et la forme aiguë reste assez rare.

Typiquement, les douleurs sont nocturnes, réveillant le malade, l’obligeant à se lever (acroparesthésies nocturnes). Elles peuvent apparaître seulement au petit matin ou se répéter plusieurs fois dans la nuit. Dans la journée, les douleurs peuvent être déclenchées par certains mouvements ou par le maintien de position lors d’activités telles que téléphoner, lire le journal, conduire, tricoter… Des activités manuelles professionnelles ou de loisirs, exceptionnelles ou habituelles (tels que des jeux vidéo sur ordinateur), mais intenses, sont parfois à l’origine de l’apparition du syndrome.

Examen clinique

L’examen clinique retrouve parfois des troubles vasomoteurs (acrocyanose ou doigts bleus, parfois accompagnés de douleurs dans le cadre d’un syndrome de Raynaud).

L’altération de la sensibilité de la main peut être détectée par un test de Weber.

L’examen de l’atteinte musculaire montre qu’il peut exister une perte du « O » parfait lors de l’opposition du pouce. La perte de la force musculaire peut être attestée au dynamomètre de Jamar. C’est surtout le déficit des antépulseurs de la colonne du pouce (antépulsion contrariée, mesurable) qui est très constant.

La percussion de la face antérieure du carpe peut provoquer des fourmillements (signe de Tinel), de même que l’hyperflexion du poignet (signe de Phalen). La compression du poignet avec un garrot peut provoquer l’apparition d’une douleur au bout de trente secondes.

Examens complémentaires

L’électromyogramme (EMG), utilisé pour la première fois par Simpson en 1956 sert à confirmer l’atteinte du nerf médian et permettrait pour certains d’apprécier l’importance des lésions nerveuses. Il montre une augmentation de la latence motrice et diminution de la conduction nerveuse. Un EMG normal permettrait, selon certains, quant à lui d’exclure de façon presque certaine une forme sévère de syndrome du canal carpien : ont été décrites en fait des formes sévères à examen électrique “normal”.

Sauf cas très particuliers, polyarthrite rhumatoïde, hémodialyse, ou luxation antérieure du semi-lunaire, la dépense pour une radio de routine est excessive. La radiographie du poignet, selon l’incidence du canal carpien (main collée à la plaque, et avant-bras perpendiculaire), permettrait exceptionnellement d’en apprécier le mécanisme. Par contre, la comparaison de deux clichés de face montrerait volontiers du côté le plus atteint une déminéralisation (par défaut d’utilisation) dans des cas avérés..

Une très bonne échographie du tronc nerveux pourrait être intéressante dans la grande majorité des formes communes.

Les autres examens d’imagerie (scanner, imagerie par résonance magnétique) ne sont pas faits systématiquement, et cela, même en cas, notamment, d’échec d’une intervention chirurgicale (la libération a été en règle générale insuffisante : incision “trop” haute ou “trop” basse et “pas assez” longue”), ou de formes atypiques (formes à l’effort ou compression extrinsèque).

Le bilan biologique ne montre rien de particulier. Il faut rechercher systématiquement un diabète, association non exceptionnelle et qui favorise une extension de la compression à la partie “haute” du ligament annulaire, source de “mauvais résultat” si méconnue.

Diagnostic différentiel

Les plus courants sont les atteintes des racines nerveuses C6-C7, le syndrome de la traversée thoracobrachiale et les neuropathies périphériques, syndrome du rond pronateur, atteinte du nerf interosseux antérieur.

Traitement

Il ne faut pas attendre les complications pour traiter. Quand il y a perte de la sensibilité digitale ou fonte musculaire, le nerf est en général sévèrement atteint. Dans les formes légères ou modérées un traitement médical, conservateur, peut être proposé. Dans les formes plus sévères la chirurgie est préférable. Les formes sévères surviennent le plus souvent chez les personnes âgées. Il peut y avoir toutefois des améliorations spontanées.

Les récidives ne sont pas rares après traitement médical, mais sont exceptionnelles après chirurgie.

 

 

 

Cancer, résultat d’un PH acide et du manque d’oxygène

“Béchamp avait raison,
le microbe n’est rien, le terrain est tout.” Louis Pasteur

Dr Otto Heinrich Warburg, lauréat du prix Nobel de physiologie et médecine pour sa découverte de processus-clés de la respiration cellulaire et différents systèmes enzymatiques, a découvert que :

  • les cellules cancéreuses changent leur métabolisme pour passer à un métabolisme anaérobie et ne peuvent se développer dans un milieu riche en oxygène ;
  • une acidité trop importante du corps cause le cancer, signifiant que le pH est en-dessous du niveau normal de 7,365 – qui constitue un état “acide” :
  • Les tumeurs et cellules cancéreuses prospèrent dans un pH plus faible (à 6,0) à cause de la production d’acide lactique et d’une concentration élevé en CO²

acide-baseLes tissus cancéreux sont acides,
alors que les tissus sains sont alcalins.

L’eau se divise en ions H+ et OH+ :
s’il y a un excès d’H+, c’est acide,
s’il y a un excès d’OH+, alors c’est  alcalin.

 

Toutes les formes de cancer sont caractérisées par 2 conditions de base : l’acidose et l’hypoxie. Le manque d’oxygène et l’acidose sont les 2 faces d’une même pièce […]

 

Toutes les cellules normales ont un besoin absolue d’oxygène, mais les cellules cancéreuses peuvent vivre sans oxygène, c’est une règle sans exception.

Privez une cellule de 35 % de son oxygène pendant 48 heures et elle courra le risque de devenir cancéreuse.

En l’absence d’oxygène, le glucose fermente et devient acide lactique.

Quelques conseils
  • Manger plus de légumes pour donner de l’oxygène à l’organisme
  • Apport journalier en vitamine C : les piments, choux, le brocoli, la papaye, les fraises, les choux-fleurs, les ananas, les kiwis, les oranges et les citrons…
  • Apport journalier en vitamine E d’origine naturelle, qui a a une incidence sur la pression artérielle
  • Prise régulière de magnésium
  • Lutter contre l’hypoxie pour oxygéner au maximum le sang
  • L’eau de mer aurait des effets bénéfiques : ½ cuillère à café de sel de mer bio pour  4 litres d’eau – sauf si vous souffrez de tous types de problème de rein
  • Repas exempt de produits raffinés (sucres rapides, pain blanc, riz blanc, etc…), ni de sucre au maximum

 

Céphalées de tension

Les céphalées de tension sont des maux de tête se manifestant par une douleur, au niveau de la nuque, des zones temporales, ou du front, pouvant se manifester en casque, en barre horizontale… Elles peuvent apparaître des deux côtés de la tête (bilatérales), ou sur un seul côté. Ces céphalées peuvent être épisodiques ou chroniques.

Causes

Plusieurs causes combinées (c’est-à-dire la combinaison de plusieurs facteurs ou modèle multi-factoriel) seraient à l’origine des céphalées de tension (CT) :

  • des facteurs musculaires ou posturaux (dans le cas des CT épisodiques peu fréquentes),
  • des épisodes de stress psychologique répétés + réactivité musculaire (dans le cas des CT épisodiques fréquentes)
  • un dysfonctionnement du système nerveux central (dans le cas des CT chroniques).

Des troubles psychosomatiques liés au stress (professionnel, familial) et liés à une angoisse (qui renforcerait la CT). Cette angoisse serait elle-même causée ou liée, par exemple, à des traumatismes passés, plus ou moins graves ou répétitifs. Certains facteurs moduleraient la manifestation « l’intensité » de la céphalée de tension : des facteurs internes propres à l’individu (l’état de stress, période particulière du cycle hormonal) et des facteurs environnementaux (rythme de vie, facteurs climatiques).

Les causes physiologiques incluent :

  • Problèmes de vertèbres cervicales : Des vertèbres pourraient causer une pression sur certains nerfs (compression des nerfs d’Arnold, de la moelle épinière ou moelle spinale, d’autres nerfs…) ;
  • Problèmes de gouttière dentaire mal refermée : Des céphalées de tension seraient associées à certains cas de bruxisme ;
  • Malformation d’Arnold-Chiari (rare) : La pression excessive exercée par les os de la boîte crânienne sur le cervelet serait à l’origine des céphalées de tension liées à la malformation d’Arnold-Chiari. Elles sont détectables grâce à l’IRM ;
  • Névralgie d’Arnold ;
  • Fistule durale du sinus caverneux ;
  • Accident ischémique transitoire.

Syndrome de sensibilité centrale

Selon certains médecins, les céphalées de tension semblent avoir des relations avec d’autres syndromes (Fibromyalgies, Côlon irritable, Fatigue Chronique…) au point d’être affublées d’une dénomination commune: “Central Sentivity Syndromes” (CSS).

Pour ces médecins comme pour d’autres, il y aurait un dérèglement durable de certaines fonctions cérébrales (au niveau du système de gestion de la douleur) au sein système nerveux central qui conduirait à ces maladies (dont les céphalées de tension chroniques).

Mauvaise circulation du sang dans les mains

Il s’agit d’une carence en débit sanguin au niveau des extrémités. Une plaque se forme et obstrue par la suite les vaisseaux sanguins des mains.

Quelles en sont les causes ?

  • Diabète
  • Pression artérielle élevée
  • Tabac
  • Taux de cholestérol élevé
  • Mode de vie sédentaire
  • Abus de consommation d’alcool, de drogues ou de café
  • Maintenir ses mains dans des positions incorrectes

Les symptômes sont…

  • Une sensation de fourmillement
  • Des mains froides
  • Des mains et des bras douloureux ou gonflés
  • Des migraines
  • Des crampes
  • Un manque de sensibilité au niveau des mains
  • Un endormissement des doigts
  • Des ongles moins résistants

Quel est le traitement à suivre ?

Modifiez votre alimentation

Lorsque l’on souffre de ce problème de santé, il faut suivre un régime riche en fibres et faible en graisses. En effet, c’est précisément l’excès de graisses qui construit les plaques obstruant nos vaisseaux sanguins. Il est donc vivement recommandé de perdre du poids.

Les aliments ou les produits qui contiennent de la vitamine C et E sont essentiels pour améliorer la circulation de notre sang. Il faudra boire beaucoup d’eau, ainsi que plusieurs boissons saines. Ainsi, les jus de fruits sont excellents pour améliorer le flux sanguin au sein de notre corps, notamment les nectars de fruits.

Faites de l’exercice

Faire de l’exercice est toujours positif pour notre santé et améliore notre style de vie. Lorsqu’il s’agit d’une mauvaise circulation sanguine, il est préférable d’utiliser des objets qui peuvent se manipuler avec les mains. C’est une excellente manière de stimuler la circulation. Il existe d’autres exercices pour rester actif, par exemple marcher ou monter des escaliers. Ces activités sont essentielles pour échauffer notre corps et éviter ainsi les crampes. Si vous n’avez aucun objet à manipuler, il existe d’autres manières de faire travailler vos mains : frottez-les entre elles, puis secouez-les pour les réveiller et les libérer de toute tension.

Remèdes maison pour améliorer la circulation

Nous pouvons nous masser les mains avec des huiles essentielles et naturelles. L’huile de romarin, l’huile d’amande ou bien l’huile de lavande convient parfaitement. Ces massages doivent se faire avant d’aller se coucher.

Le thé au gingembre est une solution idéale pour soulager les crampes. Nous recommandons aussi de prendre du ginkgo biloba pour augmenter le flux sanguin.

On oublie souvent que les vêtements serrés peuvent empirer la circulation sanguine.

Il est donc préférable d’utiliser des vêtements amples pour empêcher ce désagrément. De même, nous recommandons de libérer vos mains de tout accessoire oppressant.

Le froid peut provoquer des crampes et diverses douleurs dans les mains. Il est donc recommandé de bien les couvrir.

Conservez une bonne position

Le sang doit circuler librement et sans aucune interruption. Il ne doit pas rencontrer de difficultés non plus. Il faut donc garder constamment une position correcte des mains, c’est-à-dire idéale pour le corps et la colonne vertébrale. Placer ses mains correctement est primordial pour éviter l’endormissement de celles-ci lorsque l’on dort.

 

Prolapsus génital

Le pelvis, ou « petit bassin » de la femme, contient quatre organes : La vessie en avant, l’utérus et le vagin au milieu, et le rectum en arrière. Le prolapsus génital (ou « descente d’organes » dans le langage courant) est un déplacement anormal, soit d’un seul organe, soit de deux organes, soit des trois organes du pelvis vers le bas, avec, éventuellement, l’issue de cet organe à l’extérieur, à travers l’orifice vulvaire ou à travers l’anus.

Les termes utilisés pour qualifier les différentes composantes d’un prolapsus sont les suivants :

  • Hystérocèle : prolapsus de l’utérus dans son ensemble
  • Trachélocèle : prolapsus du col utérin (par exemple chez une patiente ayant subi une
  • Hystérectomie subtotale (ablation du seul corps utérin en laissant en place le col)
  • Rectocèle : descente du rectum dans le vagin
  • Prolapsus rectal : descente du rectum à travers l’anus
  • Elytrocèle ou hédrocèle : prolapsus du culdesac de Douglas (partie la plus déclive du péritoine pelvien)
  • Entérocèle : prolapsus d’anses intestinales à l’intérieur d’une élytrocèle
  • Colpocèle : prolapsus du fond vaginal (par exemple chez une patiente ayant subi une hystérectomie totale)
  • Syndrome du périnée descendant : descente anormale de l’ensemble du périnée, à la poussée abdominale

La classification du prolapsus en fonction de son importance se fait classiquement en trois stades, dont la définition est clinique :

  • stade I : Prolapsus n’arrivant pas jusqu’à l’orifice vulvaire
  • stade II : Prolapsus arrivant jusqu’à l’orifice vulvaire, mais ne le dépassant pas
  • stade III : Prolapsus dépassant l’orifice vulvaire (on parle de « prolapsus extériorisé »)

Le prolapsus génital peut parfois s’accompagner d’une incontinence urinaire, mais pas toujours.
(Effectivement : On peut avoir une incontinence urinaire sans prolapsus génital, et un prolapsus génital sans incontinence urinaire, les deux phénomènes étant dus à des mécanismes différents). D’ailleurs, par des phénomènes complexes, certains prolapsus peuvent « masquer » une  incontinence urinaire, qui ne va apparaître qu’après le traitement chirurgical du prolapsus.

Causes

Les trois organes du pelvis sont maintenus à leur place naturelle par deux moyens :

  • des moyens de suspension : essentiellement constitués par les ligaments qui tiennent ces organes, et par les fascias, sortes de ciments naturels qui solidarisent ces trois organes entre eux ;
  • des moyens de soutènement : essentiellement constitués par les muscles du périnée (muscles releveurs de l’anus).

Un prolapsus génital va donc apparaître si ces moyens deviennent défaillants. Les causes les plus classiques en sont les suivantes :

  • la constipation, qui augmente la pression intra-abdominale, appliquée sur les structures du pelvis ;
  • la ménopause, et la carence en hormones qui en découle (qui abîme les fascias et désolidarise les organes entre eux) ;
  • le surpoids et l’obésité (qui provoque une pression trop importante de l’abdomen sur les organes du pelvis, et qui distend les ligaments) ;
  • des grossesses multiples ;
  • des troubles neurologiques: paraplégie, qui entraîne une dénervation du pelvis et un affaiblissement de ses muscles ;
  • l’âge, le risque doublant à chaque décennie à partir d’un certain âge ;
  • des accouchements difficiles (usage de forceps, par exemple), des accouchements de gros enfants (plus de 4 kg), qui abîment les muscles du périnée. Ces derniers facteurs sont classiques mais n’ont cependant pas été prouvés ;
  • Certains sports, comme le “step”, qui entraînent de fortes pressions sur le périnée [réf. nécessaire].

Parfois, cependant, aucune cause évidente n’est retrouvée.

Cellules immunitaires

  • des lymphocytes
    • lymphocyte T
    • lymphocyte B
    • lymphocytes NK
    • lymphocyte NKT
  • des phagocytes
    • macrophages
    • monocytes
    • cellules dendritiques
  • des granulocytes
    • granulocyte neutrophile
    • granulocyte éosinophile
    • granulocyte basophile

Cancer et écorce de Pao

L’extrait particulier de l’écorce du Pao pereira (que les tribus amazoniennes utilisaient en décoction pour enrayer les fièvres et retrouver des forces) utilisé aujourd’hui dans le Pao V et le Pao V FM, favorise l’apoptose (suicide) des cellules malignes au-delà d’un certain seuil de dégénérescence.

Cette puissante action anticancéreuse (doublée d’une action anti-inflammatoire) du Pao a été vérifiée récemment, aussi bien sur des cultures cellulaires que chez des souris atteintes de cancer.

Le Dr Beljanski avait montré l’efficacité du Pao sur 16 lignées in vitro, 16 lignées cancéreuses différentes (sein, ovaire, prostate, côlon, etc.) dont certaines résistantes aux antimitotiques.

L’extrait de Pao améliore grandement l’efficacité des chimiothérapies, en particulier :

  • sur le cancer de la prostate (étude de 2009 de la Columbia University), et même sur le cancer avancé de la prostate (nouvelle étude de 2013 de la C.U.),
  • sur le cancer (pourtant méchant) du pancréas et des ovaires (une première étude de 2012 et deux en 2013 du Centre Médical de l’Université du Kansas).

Ces deux institutions de recherches, ainsi que le Cancer Treatment Centers of America (CTCA/Chicago) ont confirmé l’efficacité des autres produits Beljanski comme le Rovol à base de Rauwolfia vomitoria (sur le cancer du pancréas et des ovaires notamment) ou le RealBuild.

Toutes ces résultats sont disponibles dans le détail en cliquant ici.

Ce nouvel apport scientifique valide et précise l’action thérapeutique de chacun des 5 grands produits Beljanski. Surtout ces données, croisées à celles qui sont issues de l’expérience humaine des patients, permettent de mieux se soigner en fonction de l’évolution du cancer, par des traitements ciblés, complémentaires et qui agissent en synergie, y compris avec le traitement officiel.

 

 

Le succès trop beau du Pao…

La force du Pao repose donc à la fois sur sa capacité à tuer les cellules cancéreuses, à enrayer le processus cancéreux, et sur ses propriétés antivirales (y compris dans le cas d’hépatites à virus), antirétrovirales mais aussi anti-inflammatoires. D’où son grand succès diffusé par le bouche à oreille dès le milieu des années 80 et l’engouement qu’il a rencontré chez les malades du sida de la première heure.

Certains de ces malades ont témoigné haut et fort : ils avaient réussi à stopper la progression de l’infection et des maladies opportunistes associées (souvent des cancers), et même à remonter leur système immunitaire avec d’autres produits Beljanski.

Gérard Weidlich, CRS sauveteur en mer, fut le premier de ces malades déclarés à expérimenter (contre l’avis de Beljanski à qui il signa une décharge) ce traitement jusqu’alors utilisé en cancérologie mais jamais en en virologie. Il guérit des maladies opportunistes, stabilisa son état et vécut jusqu’en 2007, terrassé comme sa mère par une embolie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les 5 grands produits de Beljanski permettent de se traiter de façon globale :

1. Ils stoppent la multiplication des cellules cancéreuses :
– Le Rovol V (autrefois BG-8), extrait de l’écorce de la racine de Rauwolfia, inhibe spécifiquement les cellules cancéreuses et tumorales en modifiant l’expression d’un certain nombre de gènes intervenant dans la régulation du cycle cellulaire et la réparation de l’ADN. Cela a été démontré aussi. C’est un produit particulièrement actif en synergie avec les thérapies conventionnelles.

Posologie habituellement recommandée : 4 gélules par jour.

– Le PaoV et le Pao V FM (dérivé du PB-100), je l’ai dit, favorisent la mort des cellules cancéreuses. Ils sont conseillés dans tous les cas de cancer. Ils sont aussi antiviraux et anti-inflammatoires. Ces deux appellations se distinguent uniquement par leur concentration en principes actifs. Notez que le Pao franchit la barrière sang-cerveau, d’où une certaine efficacité et de jolis résultats (en cours d’évaluation) sur le glioblastome (le cancer du cerveau le plus fréquent et le plus agressif).

Posologie recommandée : 6 à 10 gélules par jour pour le Pao V (1 gélule par 10 kg de poids précisément) et 4 à 10 pour le Pao V FM.

Comme les mécanismes d’action du Rovol V et du Pao V diffèrent quelque peu, il est recommandé d’utiliser ces 2 produits simultanément.

2. Ils protègent et restaurent le système immunitaire :
– Le RealBuild (jadis RLB pour « Remonte Leucocytes Beljanski ») a été l’un des premiers mis au point par Beljanski grâce à sa connaissance poussée du monde des ARN : composé de fragments d’ARN de colibacilles (appartenant à la souche K12 connue pour être non pathogène et non mutagène), il stimule la genèse des globules blancs et des plaquettes non cancéreux en restaurant rapidement leur taux normal sans agir, le cas échéant, sur les globules blancs et les plaquettes cancéreux. On observe souvent le résultat en 48 h (dans la mesure où le taux de globules rouges n’est pas tombé en dessous d’un certain seuil). L’action de ce produit a notamment été vérifiée par le service du Pr Léon Schwarzenberg.

Les risques infectieux ou/et hémorragiques et létaux qu’entraînent fréquemment les chimiothérapies et radiothérapies sont donc considérablement diminués. Il en va de même avec les hématies (globules rouges), de sorte que toute anémie grave peut être évitée. Derniers bénéfices, et non des moindres : pas de troubles digestifs ni de perte de cheveux. Posologie recommandée : une dose un jour sur deux.

3. Ils corrigent les désordres enzymatiques :
– Le Ginkgo V (anciennement Bioparyl) doit beaucoup – ironie de l’histoire – aux travaux portant sur la radioprotection que l’Armée avait confiés au scientifique. Sans avoir de réelle vertu anticancéreuse, ce produit à base d’extraits de feuilles dorées de Ginkgo biloba aide les cellules soumises à un stress excessif (suite à une exposition toxique ou à une radiothérapie) à réparer les dégâts qu’elle a subis. Et à éviter que ce stress ne perdure (via des cures de radiothérapie longues et répétées) et finisse par rendre la régulation des enzymes chargés de cette tâche (les ribonucléases tout particulièrement) anarchique. Chez les patients sous radiothérapie, il inhibe l’apparition de la fibrose radique dans près de 75% des cas. En résumé le Ginkgo V permet de réparer les diverses anomalies cellulaires qui accompagnent les cancers (et le sida).

Posologie recommandée : 4 à 10 gélules par jour. Ne pas oublier de bien s’alimenter aussi, d’éliminer les toxiques et de prévenir

Au-delà de ces 5 piliers du traitement Beljanski, d’autres produits sont proposés pour des raisons pratiques ou en accompagnement. Citons par exemple le Prostabel, combiné de Rovol V et de Pao V pour les hommes, ou le Ladybel, qui comprend en plus du ginkgo et du magnésium pour les femmes.

Le Dr Beljanski – et ça aussi ne se sait pas assez – a également beaucoup insisté sur la nécessité d’adopter une alimentation de qualité, la moins toxique possible, et sur l’importance de faciliter le travail des émonctoires afin que les polluants inhalés et ingérés soient le plus rapidement possible éliminés des cellules.

Sa fille Sylvie propose dans cet esprit un dépuratif doux, Signature Chelate, dont la composition n’est pas dénuée d’intérêt : il contient en effet une base de tourbe hongroise (Humifulvate), du glutathion, du chitosan (kératine marine) et de la chlorella, des substances antioxydantes, chélatrices et régénérantes.

Enfin, et tout spécialement pour ceux qui ont réussi à sortir d’un cancer, ces produits sont toujours utiles en prévention. On conseille dans ce cas des cures régulières de Pao et de Rovol (une cure d’un mois trois fois par an), histoire de donner un coup d’arrêt à un redémarrage et des métastases que l’on sent pas forcément venir.

 

Le PAO non extrait et non purifié, simplement mis en flacon, existe aussi.

 

Bibliographie :

Les 133 publications du Dr Beljanski : http://beljanski.org/engl/no-category/mirko-beljanskis-publications/
Les références et résultats des études américaines menées depuis le début des années 2000 : http://beljanski.org/francais/pages/la-recherche-continue/
Les travaux de l’Américain D.C.Malins confirmant le phénomène de “déstabilisation” de l’ADN ont été publiées dans le Proceedings of the National Academy of Sciences (PNA) : PNA 1996 (93 : 140414052, 93 : 2557-2563), 1997 (94 : 3611-3615) et 2003 (100 : 5401-5406).
« Les apprentis sorciers du sida », article d’Annie Kouchner publié le 9 septembre 1993 par le magazine L’Express.
« Beljanski : héros ou escroc ? », chronique du Magazine de la Santé de France 5 (14 février 2005) : 10 mn de grosse rigolade…
« Les combats de la vie – Mieux que guérir prévenir », Luc Montagnier (Livre de poche)
« Une nouvelle approche thérapeutique du cancer : affaire Galilée du XXème siècle ? », article d’Henri Boiteux, ancien administrateur de l’Institut de Recherches Scientifiques sur le Cancer (CNRS) publié dans la revue Nexus de juillet/août 2004.

Pour en savoir plus :

« Cancer’s Cause, Cancer’s Cure: The Truth About Cancer, Its Causes, Cures, and Prevention », du Dr Morton Walker (2012, Hugo House Publishers). Ce livre écrit par un expert américain des thérapies complémentaires est l’un des plus sérieux qui soient, et des plus complets. Il n’a hélas pas fait l’objet d’une traduction française.
« La santé confisquée – Le dossier des découvertes interdites », Monique et Mirko Beljanski (2010, Guy Trédaniel Editeur).
« La Diététique et Beljanski », de Dany Toussaint et Monique Beljanski (2011, Guy Trédaniel Editeur).
Site de la Fondation Beljanski : http://beljanski.org/francais/notre-mission/. Cette entité américaine à but non lucratif se consacre à la diffusion et à l’approfondissement de l’héritage scientifique du savant et travaille à son développement par des instances scientifiques et médicales. Elle diffuse également livres, articles et événements consacrés aux recherches de Mirko Beljanski en coopération avec le CIRIS, Centre d’Innovations, de Recherches et d’Informations Scientifiques, association de bénévoles et de patients basée en France présidée par Pierrette Weidlich.
Le blog de Sylvie Beljanski : pour un contact direct, des billets d’humeur, les dernières actualités et projets… http://www.beljanskiblog.com.
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Vitamine B17 (Laetrile)

Dans les années 1940, suite à « La Thèse Unitaire ou Trophoblaste du Cancer », l’équipe du Dr. Ernst T. Krebs et son fils firent des recherches sur les co-enzymes et sur la possibilité que le cancer pourrait résulter d’une carence en vitamines.

Dans le début des années 1950, ils émirent l’hypothèse que le cancer est causé par l’absence d’un composé alimentaire essentiel, manquant dans l’alimentation moderne de l’homme, identifié comme faisant partie de la famille des nitrilosides, qui se trouve dans plus de 1200 plantes comestibles.

Ils apprirent, l’existence du royaume des Hunzas, dans les montagnes Himalayennes situées au nord du Pakistan, et où il était dit que ce peuple vivait « sans cancer ». Les Docteurs Krebs savaient qu’ils mangeaient de grandes quantités d’abricots, mais ils ne croyaient pas que le fruit contenait des substances pouvant lutter contre le cancer … jusqu’à ce qu’ils ont apprennent que les Hunzakuts mangent également les semences contenues dans les noyaux d’abricot, qui sont riches en nitrilosides !

Les nitrilosides

Les nitrilosides sont particulièrement répandues dans les graines d’abricots, les pêches, les pommes, le millet, les fèves germées, le sarrasin, et aussi dans d’autres fruits et noix, y compris les amandes amères.

Les Dr. Krebs ont pu extraire certains glycosides des plantes qui contenaient les nitrolosides, et finalement, ont effectué une demande de brevet pour le procédé de production du métabolite formé par ces glycosides, en vue d’une utilisation clinique. Il nomma ceci « Laetrile ».

Il a fallu plusieurs années, et la réalité des essais cliniques effectués à travers le monde, avant qu’un modèle ne soit proposé afin de rationaliser l’utilité de la Laetrile dans la prévention, ainsi que pour le traitement du cancer, après tout ce temps, le nom de « vitamine B17 » fut reçu.

Les Hunzakuts consomment entre 100-200 fois plus de B17 dans leur alimentation, que l’Américain moyen, en raison principalement du fait de manger les graines d’abricots, et aussi beaucoup de millet. Fait intéressant, l’argent n’existe pas, au Hunza. La richesse d’un homme se mesure par le nombre d’abricotiers qu’il détient. Et la nourriture la plus convoitée est la semence contenue dans les noyaux d’abricot, l’une des plus importantes sources de B17 sur la Terre. Les équipes visiteuses de médecins ont trouvé les Hunzacuts exempts de cancer.

L’une des premières équipes médicales chargée d’étudier les Hunza, était dirigée par le chirurgien britannique de renommée mondiale, le Dr. Robert McCarrison. Écrivant dans le Journal AMA, du 7 janvier 1922, il a indiqua : « Les Hunza n’ont pas d’incidence connue avec le cancer. Ils bénéficient d’une abondante récolte d’abricots. Ils les sèchent sous le soleil, et les utilisent en grande partie dans leur alimentation ».

Mais pourquoi n’avez-vous pas entendu parler de la vitamine B17 ?

Cela semble si simple ! Eh bien, la vérité sur cette question, c’est que l’Industrie du Cancer a supprimé cette information et a même ordonné le fait qu’il soit illégal de vendre la B17. La Mafia Médicale a monté avec grand succès, des campagnes «effrayantes», basées sur le fait que la vitamine B17 contient des quantités «meurtrières» de cyanure. Ceci est manifestement faux. Des études montrent que la vitamine B17 est inoffensive pour les tissus sains.

Voici pourquoi : chaque molécule de B17 contient une unité de cyanure d’hydrogène, une unité de benzaldéhyde et deux unités de glucose (sucre) bien verrouillés ensemble. Pour que le cyanure d’hydrogène devienne dangereux, il faut d’abord nécessairement déverrouiller la molécule qui le libérera, une astuce qui ne peut être effectuée que par une enzyme appelée bêta-glucosidase, qui n’est présente partout dans le corps humain, qu’en quantités infimes, mais par contre, en grande quantité dans un seul endroit : les cellules cancéreuses.

Ainsi, le cyanure d’hydrogène n’est déverrouillé que sur le site où se trouve le cancer, et ce, avec des résultats radicaux, qui deviennent tout à fait dévastateurs pour les cellules cancéreuses, puisque l’unité de benzaldéhyde se déverrouille en même temps. Les cellules cancéreuses obtiennent un double coup, à la fois de cyanure et de benzaldeyhde ! Le benzaldéhyde est un poison mortel en lui-même, mais quand il fait équipe avec le cyanure, le résultat en fait un poison 100 fois plus mortel que lorsqu’il agit seul. Les cellules cancéreuses sont littéralement oblitérées !

Mais tout ceci n’est-il pas sans danger pour le reste des cellules du corps ? Un autre enzyme, le rhodanese, toujours présent en quantités beaucoup plus imortantes que l’enzyme de déverrouillage beta-glucosidase dans les tissus sains, a la capacité de dégrader entièrement, à la fois le cyanure, et le benzaldéhyde, en thiocyanate (une substance inoffensive), et en salicylate (qui est un tueur de douleur semblable à l’aspirine). Fait intéressant, les cellules cancéreuses malignes ne contiennent pas de rhodanese du tout, ce qui les laisse complètement à la merci des deux poisons mortels. Tout ce processus est connu sous le nom de toxicité sélective, puisque seules les cellules cancéreuses sont spécifiquement ciblées et détruites.

Les centaines d’études cliniques menées par de nombreux médecins compétents dans le monde entier, y compris celles qui sont dirigées par le Dr. Ernesto Contreras à l’Oasis of Hope Hospital au Mexique, nous donnent toute confiance, que le traitement avec la thérapie B17 ne présente aucun danger pour les cellules normales. Ce sont de mauvaises nouvelles pour l’Industrie du Cancer. Les graines d’abricots ne sont pas chères … vraiment pas chères … pas aussi coûteuses que leur dernier cocktail médicamenteux de chimiothérapie.

‘‘J’ôtais les pépins et jetais les pommes.
Maman récupérait les pommes de la corbeille et cuisinait des tartes’’.
~ Jason Vale

Mon ami, Jason Vale, a écopé d’une condamnation à mort par ses médecins, dans le milieu des années 1990, lorsqu’on a découvert qu’il avait un cancer en phase « terminale ». Il a appris, grâce à des recherches approfondies, que les gens qui avaient un cancer, découvraient des propriétés curatives dans les pépins de pommes et les noyaux d’abricots, lesquels, comme je l’ai mentionné ci-dessus, contiennent de grandes quantités de vitamine B17.

Jason a immédiatement commencé à se sentir mieux, en mangeant des pépins de pommes et des noyaux d’abricots, dans le cadre de son régime alimentaire quotidien. Dans un court laps de temps, le cancer de Jason a littéralement disparu.

Lorsque l’histoire « Extraordinaire » de Jason fut diffusée à la télévision nationale, dans le milieu des années 1990, cela à provoqué une audience si grande que le même reportage a été diffusé une deuxième fois, la semaine suivante.

L’enthousiasme des spectateurs fut si grand que Jason se retrouva inondé d’appels téléphoniques, provenant de personnes résidant dans tout le pays. Au cours des années suivantes, Jason a littéralement aidé des milliers de gens, à traiter avec succès leur cancer, en consommant des semences de noyaux d’abricot.

Jason fut victime d’une opération coup de poing de « Gestapo », décidée par la FDA, il a été condamné le 18 juin 2004, à soixante-trois mois de prison et trois ans de liberté surveillée, par un tribunal de district des États-Unis dans le District Est de New York.

Son crime ? La vente de graines d’abricot sur son site web, et de dire aux gens la VERITE sur leurs propriétés curatives.

Après avoir purgé près de quatre ans de prison, Jason a été libéré de la maison d’arrêt au début de 2008.

Le site web de Jason est www.ApricotsfromGod.info

Choc opératoire

Les effets secondaires d’une anesthésie générale et des médicaments lors d’une opération chirurgicale peuvent engendrer certains troubles, un drainage s’impose pour éliminer au plus vite les effets de fatigue, d’intoxication, de dépression, de transit ou encore d’insomnies…

S’endormir et se réveiller artificiellement demande au corps un effort intense, une augmentation du stress, et la décharge hormonale qui en résulte va fatiguer l’organisme. Vous risquez d’avoir :

  • des troubles du sommeil,
  • une baisse du moral,
  • sans parler des causes de l’intervention suite à une maladie ou un accident…

De plus les anesthésiants font chuter les défenses immunitaires, l’organisme doit lutter contre les agressions extérieures, ce qui le fatigue d’avantage. C’est le foie qui s’occupe d’évacuer les toxines suite à une anesthésie générale, il faudra donc également lui faciliter le travail.

Female cystitis and urinary tract infections – Cystites et infections urinaires féminines

Les cystites sont des inflammations de la vessie, le plus souvent causées par des bactéries, plus rarement par des virus, des champignons, ou des parasites. Certaines, rares, sont liées à des maladies auto-immunes.

Les cystites sont fréquentes chez les femmes, dont l’anatomie favorise la colonisation bactérienne rétrograde de leur vessie par les microbes du tube digestif (anus).
Les cystites sont dites « aiguës simples » quand les patients ne présentent que des signes vésicaux d’apparition brutale. Elles sont dites compliquées lorsqu’existent des signes de gravité ou des complications.

Les cystites aiguës sont dites récidivantes lorsqu’on en souffre trois fois et plus dans une année, lorsqu’on recense 2 autres épisodes dans les 6 derniers mois, ou que le dernier épisode remonte à moins de 3 mois.

Les cystites interstitielles sont des inflammations durables de la paroi vésicale, par altération cellulaire et dégradation de la protection locale, sans précision des causes.

Les cystites à « urines claires » sont des inflammations sans infection. Elles pourraient représenter quatre cystites sur dix en consultation médicale de ville (Etude BaCyst, Journées Nationales d’Infectiologie, 2011).

Risques

Très peu de données épidémiologiques pour une pathologie qui selon les spécialistes toucherait une femme sur deux au cours de sa vie (Collège universitaire des enseignants en néphrologie, 2011). Les cystites représentent la deuxième localisation infectieuse en médecine générale, après les infections respiratoires.

Leur répercussion sur la qualité de vie est nette en raison de la douleur, surtout si ces infections se répètent. Leur fréquence augmentant avec l’activité génitale, elles peuvent freiner la vie sexuelle considérablement.

Les cystites infectieuses peuvent se compliquer, par extension de l’infection aux reins, la pyélonéphrite, puis par passage dans le sang (septicémie). La pyélonéphrite provoque de la fièvre (38-39°), des frissons, une douleur lombaire brutale du côté du rein atteint. La pyélonéphrite non soignée fait courir un risque de détérioration définitive du rein atteint. C’est une urgence médicale.

Une cystite chez un homme est en soi une cystite compliquée, car son anatomie fait normalement obstacle à l’infection.
Une cystite chez la femme enceinte et la femme ménopausée est compliquée d’office. Elle requiert une prise en charge médicale rapide.

Les autres facteurs de gravité permettant de parler de cystite compliquée sont :

– la rechute précoce moins de 7 jours après le traitement d’une précédente cystite et les récidives fréquentes ;
– la présence de sang visible dans les urines (autres diagnostics à évoquer impérativement) ;
– les anomalies de l’appareil urinaire (reflux urétéral, etc.) ;
– les maladies associées favorisant l’infection (diabète, cancer, immunodépression, maladie de foie) ;
– les calculs dans la vessie ou les reins.

Cystitis are bladder inflammation, usually caused by bacteria, more rarely by viruses, fungi, or parasites. Certain, rare, are related to autoimmune diseases.

Cystitis are common in women, whose anatomy promotes bacterial colonization of their retrograde bladder by microbes of the digestive tract (anus).
Cystitis are called “single severe” when patients have only bladder signs of sudden onset. They are called complex where viable signs of severity or complications.

Acute cystitis is called recurrent when it suffers three or more times in a year, when two lists other episodes in the last six months, or the last episode goes back less than three months.

Interstitial cystitis are durable inflammation of the bladder wall, by cellular damage and degradation of local protection, unspecified causes.

Cystitis to “clear urine” is inflammation without infection. They could represent four ten cystitis city medical consultation (Study BaCyst, National Days of Infectious Diseases, 2011).

Risks

Very few epidemiological data to a condition that according to specialists affect one in two women in his life (University College Teachers nephrology, 2011). Cystitis is the second infectious localization in general medicine, after respiratory infections.

Their impact on the quality of life is clear due to pain, especially if these infections are repeated. Their frequency increases with genital activity, they can stop the sexual life considerably.

Infectious cystitis may be complicated by extension of kidney infection, pyelonephritis, and then by passing through the blood (sepsis). Pyelonephritis causes fever (38-39 °), chills, back pain brutal side of the affected kidney. The untreated pyelonephritis poses a risk of permanent damage kidney reached. This is a medical emergency.

Cystitis in a man is in itself a complicated cystitis because its anatomy normally prevent infection.
Cystitis in pregnant women and postmenopausal women is complicated automatically. It requires taking rapid medical care.

Other factors of gravity to speak of complicated cystitis are:

– Early relapse within 7 days after treatment of a previous cystitis and frequent recurrences;
– The presence of visible blood in the urine (other diagnoses to evoke essential);
– Abnormalities of the urinary tract (ureter reflux, etc.);
– Associated diseases favoring infection (diabetes, cancer, immunosuppression, liver disease);
– Calculations in the bladder or kidneys.

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