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Monthly Archives: March 2020

Lapacho – Pau d’Arco

Ce document ne peut, en aucun cas, se substituer à un médecin, seul qualifié – après un examen clinique approfondi et établissement d’un diagnostic précis – pour faire la prescription appropriée aux troubles ou maladies dont le lecteur pourrait souffrir. Conformément à la jurisprudence, l’éditeur décline toute responsabilité quant aux erreurs ou omissions qui pourraient être trouvées dans ce texte en dépit des soins attentifs apportés à sa réalisation.

L’arbre Lapacho

Lapacho est un arbre que l’on retrouve dans la jungle de l’Amérique du Sud. C’est le seul arbre de ces régions qui est complètement immunisé contre les infections provenant des champignons, c’est pourquoi on l’utilise avec succès pour toutes les infections fongiques (Candida Albican), parasitaires, bactériennes et virales.

Selon des enseignements provenant des Indiens Incas d’Amérique du Sud, l’écorce interne du Lapacho a été utilisée depuis des siècles pour traiter le cancer et une foule d’autres maladies.

Selon des experts en remèdes exotiques traditionnels, on ne devrait pas penser que les capacités du Lapacho se limitent au cancer, il a prouvé son efficacité pour éliminer les radicaux libres, diminuer la douleur et l’inflammation lors de problèmes rhumatismaux et arthritiques.

De plus, il contient 16 quinones qui se sont avérés efficaces dans le traitement de l’anémie, la leucémie, la maladie de Hodgkin, la maladie de Parkinson, l’artériosclérose, les problèmes gastriques, colite, polypes, les inflammations du système reproducteur, leucorrhée, cystite, prostatite, et les problèmes cutanés tels que lupus, eczéma et psoriasis.

Utilisation traditionnelle

L’ecorce de cet arbre sud -américain est traditionnellement utilisée comme antibiotique et antiviral pour soulager un nombre important de troubles et infections (rhume, grippe, fièvre) , pour améliorer la circulation sanguine, stimuler le fonctionnement du système immunitaire et d’organes clés (foie, rate, reins). On sait déjà que sa très haute teneur en fer en fait un excellent anti-anémique et facilite la formation des globules rouges.

Préparation :

  • L’écorce de l’arbre se trouve , coupée en fines lamelles et utilisée en décoction. 2 cuillères à soupe dans un litre d’eau. Faire bouillir à feu doux 15 minutes puis laisser infuser 15 autres minutes. Boire deux à trois tasses par jour.

Posologie :

  • Usage préventif : 3 à 4 tasses par jour pendant 1 à 2 mois.
  • Usage curatif : 1 à 2 litres par jour pendant une période prolongée.

Effets secondaires et contre-indications :

• Pris en trop grande quantité, il peut occasionner des nausées et des vomissements. Respectez les doses !
• Rigoureusement contre-indiqué aux hémophiles et aux personnes ayant en prescription des couramines ou d’autres anticoagulants sanguins.

Les guérisseurs de l’empire Inca utilisaient fréquemment dans leurs prescriptions l’écorce d’un arbre aux multiples vertus thérapeutiques qu’ils appelaient Tajibo (traduisez “celui qui tue les maux”). Plusieurs études confirment l’intérêt de l’usage thérapeutique de cet arbre, aujourd’hui communément appelé Lapacho, et de son écorce dans le traitement des infections fongiques ou parasitaires, mais également dans le traitement du cancer.

L‘écorce de lapacho (Tecoma curialis) a été découverte par les Indiens Kallawayas, des guérisseurs itinérants incas qui l’ont fait connaître dans toute l’Amérique du Sud. Seul arbre à être complètement immunisé contre les infections provenant de champignons, il était fréquemment employé dans les cas d’infections fongiques. Par ailleurs, les guérisseurs traditionnels s’en servaient pour venir à bout de problèmes cutanés tels que l”acné, l’eczéma, l’herpès ou le psoriasis et le prescrivaient également comme analgésique pour diminuer la douleur.

Enfin, les prescriptions traditionnelles le recommandaient pour d’autres pathologies comme les excroissances graisseuses ou les kystes.

Un concentré de minéraux et d’oligo-éléments

Le lapacho est un arbre à racine pénétrante qui parvient à puiser des concentrations exceptionnelles de sels minéraux et d’oligo-éléments puisés dans les profondeurs de la terre.

Son écorce est riche en :

  • Calcium, fer, magnesium, phosphore, zinc, chrome, silicium, manganèse, cuivre, potassium, sodium, cobalt, bore, argent, or, strontium, barium, nickel…
    Éléments souvent en carence dans l’alimentation moderne et pourtant nécessaires au fonctionnement et au renforcement du système immunitaire, au bon drainage hépatique et à la vitalité quotidienne.
  • De plus, son aubier contient non seulement des tanins, mais également des flavonoïdes, reconnus pour leurs pouvoirs neutralisants des oxydes dans le sang.
  • Enfin, le lapacho renferme des coumarines (fluidifiants sanguins) efficaces comme régénérateurs sanguins, revitalisants, hypotenseurs, et contre les céphalées et les faiblesses cardiaques. Il est de plus dépourvu de caféine.
Deux alcaloïdes spécifiques dans le Lapacho

Aujourd’hui, grâce aux précieuses indications des tradipraticiens, des laboratoires de recherche et des universités du monde entier se penchent avec intérêt sur “celui qui tue les maux”.

Les premiers résultats confirment le savoir empirique des guérisseurs. Il est maintenant admis que l’écorce de lapacho contient 16 quinones différentes. Ces quinones, dont la vitamine K et la quinine, jouent un rôle capital dans tout organisme vivant, plante ou animal, en fixant le calcium sur certaines protéines. Ce qui leur confère une double action, en activant la circulation sanguine d’une part et le métabolisme calcique d’autre part.

Lapacho : une action antitumorale et de lutte contre Candida Albicans

Par ailleurs, les quinones, depuis une décennie, attirent fortement l’attention des scientifiques car ce sont de puissants antibiotiques et anticancéreux. La paraquinone et l’anthraquinone sont reconnues pour leur action sur les radicaux libres et pour leur capacité à pénétrer la paroi des cellules cancéreuses, particulièrement dures à percer, et à les détruire de l’intérieur. Le département de chimie de l’université de Dehli a mis en évidence l’activité antitumorale de deux quinones uniquement présentes dans l’écorce du Lapacho, la técomaquinone I et II.

Chacune des 16 quinones est une substance qui agit puissamment sur de nombreuses fonctions biologiques. Pour exemple, deux principes isolés par le docteur Meyer du National Cancer Institut aux USA, le lapachol et le xyloïdine, ont été reconnus comme des antibiotiques, antiviraux et anti-inflammatoires très efficaces. Le xyloïdine a également fait ses preuves contre plusieurs bactéries et infections fongiques comme le Candida albicans ou le trycophyton mentagrophyte.

Recette traditionnelle du Père Zago

Voici la recette traditionnelle de jus d’aloe arborescens telle qu’elle a été perfectionnée par le Père Romano Zago et telle qu’elle est transcrite dans son ouvrage “Du cancer on peut guérir”.

INGREDIENTS :

  • Un demi kilo de miel (biologique)
  • 40-50 ml de distillat (eau de vie, Cognac,whisky,etc.)
  • 350 grammes de feuilles d’aloe arborescens, 2, 3, 4 ou 5, jusqu’à atteindre le poids.

PREPARATION :

  1. Enlever les épines des bords des feuilles et la poussière qui y est déposée, en se servant d’un chiffon sec ou d’une éponge.
  2. Couper les feuilles en morceaux (sans enlever la peau)
  3. Mettre les morceaux dans le mixeur avec le miel et le distillat choisi
  4. Ne pas filtrer ni cuire
  5. La crème obtenue doit être mise dans le réfrigérateur, dans un pot sombre, bien fermé.

DOSES CONSEILLEES :

Une cuillerée du produit 20 ou 30 minutes avant les trois repas principaux
Bien agiter avant l’emploi
Une fois le traitement commencé, prendre tout le contenu du pot sur la durée (1 mois en faisant deux fois 10 jours avec une pause de 4 à 5 jours entre les deux).

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