Aux Vertus des Plantes
Categories
Categories

Autisme

L’autisme est une affection psychiatrique de l’enfant, se traduisant par des troubles du développement cérébral. Les critères du diagnostic sont les suivants

  • Début des symptômes avant l’âge de 3 ans, toujours après les 6 premiers mois de la vie correspondant à l’introduction de farines animales.
  • Quasi constance des troubles digestifs (Hyperperméabilité de l’intestin grêle)
  • Troubles de la socialisation, avec une mauvaise intégration de l’enfant dans sa fratrie ou avec des compagnons de son âge, avec des attitudes de retrait ou d’isolement.
  • Troubles de l’acquisition du langage et dyslexie, troubles de la communication non verbale.
  • Troubles du comportement, qui apparaît, répétitif et stéréotypé, avec un refus très net de changements dans l’environnement (immuabilité).
  • Gesticulations désordonnées, hyperactivité, automutilation, stéréotypie gestuelle.
  • Retard intellectuel plus ou moins important : 25 % des enfants autistes ont un QI supérieur à 70 et 50 % ont un QI inférieur à 50.

Sur le plan moteur, les enfants peuvent avoir des crampes, une hypotonie, des retards moteurs, des crispations et une mauvaise coordination des mouvements, d’autres ne seront touchés que sur le plan psychologique.

L’autisme de l’enfant correspond à la maladie d’Alzheimer du sénior.
Les autistes, asperger, hyperactifs, enfants précoces, enfants « indigo » peuvent présenter ce même bilan biologique

Asperger, est une autre forme d’autisme. Les enfants possèdent le langage, ils sont doués d’une intelligence exceptionnelle et détectés précocement ; en revanche ils ne peuvent communiquer et ne savent pas s’intégrer dans un groupe (l’école) sauf s’ils sont pris en considération. Ils disposent d’un don spécifique, uniquement dans un domaine.

Certains êtres mythiques et génies, tels Einstein, Newton, seraient des autistes aspergers, avec énormément de problèmes de communication. Einstein n’a parlé qu’à cinq ans. Sa grande passion dans sa vie fut les maths et la physique. Paradoxalement, son émotion était assez éteinte. Ils restent cloisonnés dans leur monde et uniquement axés sur un seul domaine.

Expansion de l’autisme

La maladie, qui frappe trois garçons pour une fille, est de plus en plus répandue dans le monde occidental. On estime qu’aux Etats- Unis, le nombre d’enfants autistes s’est multiplié par 5,56 en moins de 100 ans. Aujourd’hui, c’est par centaines de milliers que des autistes, des schizophrènes et d’autres souffriraient de troubles envahissants du comportement sont comptabilisés : un enfant sur 300 en serait atteint.

Parallèlement en Europe, une personne sur 300 serait intolérante au gluten !

Cet accroissement explosif oblige à chercher une modification de l’environnement et une dysbiose (intestin poreux et inflammatoire).

On peut découvrir un terrain « génétique » : on rencontre parfois des jumeaux autistes, des familles dans lesquelles il y a plusieurs autistes, des schizophrènes et d’autres pathologies liées, telles l’Alzheimer.

Ainsi on assiste à une explosion du nombre d’enfants diagnostiqués autistes ou hyperactifs (se situent dans le même registre) qui a augmenté de 500 % au cours de ces dix dernières années, ce qui oriente de plus en plus vers des causes environnementales, une approche jusqu’à présent négligée en France.

Bilan Biologique
  • Vérifier la présence d’intolérances alimentaires (gluten des céréales, caséines des laitages) et la présence des métaux lourds (aluminium, mercure…)
  • Carence en oméga 3
  • Carence en vitamine A (caroténoïdes)
  • Carence en vitamine E, B6, B9 et B12
  • Anémie ferriprive ou macrocytaire par déficit en vitamine B6, B9 et B12
  • Carence en fer, zinc, magnésium et calcium
  • Carence en glutathion, en L. carnitine et glutamine
  • Carence en pré et probiotiques

Ces carences sont dues à l’hyperperméabilité de l’intestin grêle, causée par les aliments intolérants, les métaux lourds et les produits chimiques

Baisse du neuronal Growth factor (NGF) secrété par les neurones, la moelle osseuse et les glandes salivaires et élévations des anticorps anti NGF ; la NGF est un facteur de croissance des neurones et des tissus.

Pathogénie de l’autisme

• Intolérances alimentaires (gluten des céréales, caséines des laitages)
• Rôle des métaux lourds (mercure, aluminium…)

Alimentation et autisme

Depuis longtemps, on sait que l’exclusion du blé et des laits animaux réduit l’autisme. La consommation de ces aliments est aggravante.
Le régime sans gluten et sans caséine occasionne, selon le Professeur Reichelt, une amélioration pour toutes les catégories de comportement chez 81 % des enfants en seulement 3 mois. Une reprise de ces aliments entraîne généralement une rechute.

Les céréales

Par dégradation incomplète, le gluten peut fournir de nombreux peptides qui passent dans la circulation sanguine, du fait de la trop grande perméabilité de l’intestin. Par la suite, le gluten produit de la gliadinomorphine, substance très toxique qui interagit au niveau de la communication entre les neurotransmetteurs et les neurorécepteurs. Par la suite, ces peptides atteignent les récepteurs du cerveau sous forme d’opioïdes.

Ces « peptides opiacés » vont se comporter dans l’organisme comme certains morphiniques et favoriser le développement de tout un éventail de désordres comportementaux, allant de l’hyperactivité à l’autisme, en passant par les troubles de la personnalité; l’indifférence, le repli sur soi et l’absence de langage qui en sont les conséquences majeures.

  • Le blé peut être considéré comme un véritable monstre, si l’on tient compte des immenses transformations qu’il a subies à travers les âges. Il est préjudiciable, en raison de la structure de ses protéines et du fait qu’il est toujours cuit. Il faut donc supprimer le pain, les croissants, les gâteaux contenant du blé, les pizzas, les biscuits, les biscottes, les galettes de blé, la farine de blé, les pâtes et les semoules. Le pain complet est pire encore que le pain classique, car il est plus cuit et plus riche en réactions de Maillard (assemblage entre le groupement amine des protéines et le groupement carbonyle des sucres).
  • L’orge, le seigle et l’avoine appartiennent à la famille du blé, mais ont connu beaucoup moins de changements puisqu’ils ont conservé 7 paires de chromosomes. Il faut cependant les abolir, car ils sont toujours absorbés cuits, ce qui leur confère les mêmes inconvénients que le pain d’épeautre (le blé d’origine).
  • Le riz est resté semblable à sa forme sauvage préhistorique. L’expérience montre qu’il n’est presque jamais nocif. Aussi est-il autorisé, aussi bien le riz blanc que le riz complet.
  • Le sarrasin est fort bien toléré par les humains et est donc largement permis.

Laitages et fromages

Les laits animaux font depuis quelque temps, et de façon insistante, l’objet de controverses qui, d’ailleurs, ne font qu’amplifier la défiance du public envers ces laits et leurs dérivés; le problème est que les laitages, avec le blé, règnent en maîtres dans toute l’alimentation du monde occidental et maintenant du monde entier, en ajoutant le soja (altéré par des phytates).

Rappelons que les protéines du lait de vache sont présentes dans tous les laitages (beurre, lait, crème fraîche, yaourt, fromage blanc, fromage, glaces, entremets), mais elles se retrouvent aussi dans des sauces et de nombreux plats cuisinés. Il est nécessaire de vérifier soigneusement toutes les étiquettes.

Les laits animaux présentent en effet plusieurs inconvénients majeurs. Les caséines des laitages de vache forment des casomorphines qui ont le même impact que les peptides nocifs qui encombrent l’organisme et perturbent la gestion de la sérotonine. Cela conduit à des informations excessives transmises par les sens, des insomnies et des réactions impulsives. 80 % environ des protéines du lait sont des caséines qui ne sont autres que des phosphoprotéines (insolubles) : elles constituent l’essentiel des fromages ; (le lait humain quant à lui est très pauvre en caséines). Le problème majeur est lié à l’imbrication des métabolismes du phosphore et du calcium (métabolisme phosphocalcique!): un excès d’apport alimentaire en phosphore inhibe l’absorption du calcium (mais aussi du fer et du manganèse) et favorise la production de parathormone (PTH) pour pallier le déficit calcique, le tout au prix d’une déminéralisation.

C’est le calcium qui assure la perméabilité des membranes et permet conjointement avec le magnésium, le potassium et le phosphatidylinositol, la transmission de l’influx nerveux et donc le maintien de la vie cellulaire.

Au total, les aliments riches en phosphoprotéines et plus généralement tous les corps antigéniques induisent non seulement une moindre biodisponibilité du calcium mais également, une carence en vitamine B3 et en fin de compte une carence du fameux attelage immunomodulateur composé de tryptophane — vitamine B3 — calcium — vit. B6 qui débouche sur une maladie auto-immune.

Les métaux lourds

Les métaux lourds sont incriminés : les pays industrialisés sont particulièrement concernés par cette hausse des troubles du comportement. L’une des explications serait l’intoxication lente aux métaux lourds, due principalement aux rejets de mercure et de plomb en quantités considérables par l’industrie dans l’atmosphère… mais également à la présence de divers métaux dans les amalgames dentaires (Mercure, Etain, Argent), les cigarettes (Cadmium), les vaccins (80% contiennent de l’aluminium en guise d’adjuvant pour renforcer l’immunité) et, plus particulièrement, le vaccin rougeole-oreillon-rubéole — ROR (il contient du mercure qui inhibe les oligo-éléments indispensables à l’action des enzymes au niveau des cellules). On inonde de vaccins les bébés dont le système immunitaire n’est pas encore formé, sa mère lui prête son immunité durant 6 mois !

Les métaux lourds, en s’accumulant dans l’organisme, ont en effet une action inhibitrice sur les enzymes, notamment les peptidases, destinées à la dégradation complète d’un ensemble de protéines alimentaires provenant du gluten et de la caséine (présentes dans les produits laitiers et dans la viande de veau et de bœuf).

La série des principales enzymes de désaturation des acides gras saturés, comme la delta-6-désaturase et l’élongase, n’arrivent alors plus à transformer et à métaboliser les graisses animales, les lipides industriels (margarine) et les graisses saturées en acides gras essentiels (oméga 3), responsables de la bonne fluidité membranaire et indispensables pour les cellules nerveuses du cerveau, le système immunitaire, le renouvellement des gaines neuronales et le maintien des fonctions cognitives.

Chez certains enfants génétiquement prédisposés et atteints de troubles graves du comportement ou d’autisme, on a justement identifié une carence de ces mêmes enzymes.

Lorsque ces enzymes sont inhibées par excès de métaux lourds, des psychopathologies lourdes, ou une hyperactivité constante peuvent apparaître chez des enfants jusqu’alors sains.

C’est un véritable empoisonnement chronique qui les atteint. En effet, lorsque les protéines des céréales contenant du gluten et celles du lait de vache ne sont pas complètement dégradées, elles franchissent la paroi intestinale et se retrouvent dans le système sanguin. Les nutriments absorbés par la muqueuse de l’intestin grêle sont récupérés par les veines qui les acheminent au foie. Ces protéines non dégradées irritent la paroi de l’intestin grêle et écartent les cellules intestinales, laissant un plus grand passage aux grosses molécules mal ou non digérées, ainsi que des débris de bactéries de la flore intestinale et les différents produits agressifs (médicaments chimiques, molécules étrangères, aliments antigènes, OGM, antigènes tout venant) qui envahissent alors l’organisme et l’agressent.

En réaction, les cellules de l’immunité fabriquent des anticorps contre ces peptides et débris bactériens. Or, ces anticorps reconnaissent aussi des structures propres à l’individu et se retournent contre elles, créant ainsi une affection auto-immune !

Rappelons que l’intestin jour un rôle si déterminant dans l’organisme qu’on le considère comme un deuxième cerveau. En effet, 200 millions de neurones tapissent les parois de l’intestin, les mêmes que ceux de notre encéphale. Très bavards, ces deux cerveaux dialoguent en permanence.

C’est ainsi que certaines maladies neurologiques ou cérébrales trouveront leur origine dans le côlon ou plus précisément dans l’intestin grêle. Par ailleurs les 100.000 milliards de bactérie qui composent notre flore intestinale, appelée microbiote, pourraient intervenir dans notre comportement. Ainsi la dépression, l’angoisse, les troubles du comportement pourraient survenir du fait d’un déséquilibre existant entre certaines populations bactériennes de l’intestin : tout se passe comme si celles-ci avaient au cours du temps, acquis la possibilité de secréter des neuromédiateurs non identifiés qui agissent directement sur notre cerveau.

C’est ainsi que la prise d’antibiotiques auraient amélioré certains autistes probablement en inhibant l’action des bactéries pathogènes.

Autres hypothèses

Plusieurs hypothèses ont été émises pour expliquer le développement de l’autisme :

  • Encrassage de certaines cellules cérébrales, essentiellement neurones et astrocytes par accumulation de déchets extra et intracellulaires.
  • Auto-immunité : possible association entre HLA – DQ2
  • Un rôle favorisant des pesticides contenus dans la nourriture et des antibiotiques largement administrés de nos jours aux jeunes enfants. De tels produits sont agressifs pour la muqueuse intestinale qui devient perméable.
  • Approche psychologique : être attiré par la consommation des produits laitiers signifierait être encore dépendant de sa mère, vouloir « téter sa mère » de façon symbolique. En décodage psychanalytique ou psychologique, on pourrait évoquer un ressenti mal vécu par l’enfant au moment du sevrage : dans le corps et la tête du nourrisson, le sevrage aurait été mal vécu et l’enfant se serait senti séparé de sa mère et frustré au moment de l’introduction du lait de vache. Ce serait donc un « conflit de séparation d’avec la mère » dans un contexte de ne plus recevoir le lait maternel et de le substituer par du lait maternisé. Le lait de vache est alors concomitant à la séparation.
  • Groupes sanguins. Le Dr Peter D’Adamo affirme que les personnes des groupes sanguins O et A (les plus fréquents chez les occidentaux) ne disposent pas de système enzymatique capable de métaboliser les protéines de lait animal. De même, l’homme ne s’est adapté à métaboliser les protéines de blé qu’à partir du groupe sanguin A, ce qui ne signifie pas que les autres groupes le tolèrent, car ils ne savent le digérer que si le nombre de chromosomes est de 7 paires. Le système enzymatique humain n’a pas eu assez de pressions de l’environnement pour faire apparaître des enzymes capables de métaboliser les protéines du lait de vache et de « digérer » le blé au-delà de 7 paires de chromosomes.
  • Les tests à effectuer :
  • Les intolérances alimentaires (gluten, caséines des laitages…)
  • Peptidurie urinaire
  • Métaux lourds
    • Laboratoire Zammaria (Tél : 01 46 47 71 33) ou Laboratoire Philippe Auguste (Tél : 01 43 67 57 00)

Au résultat des tests, procéder à l’éviction des produits intolérants et à la chelation des métaux lourds :

  • Xenosulf : laboratoire Le Stum, téléphone : 02 97 88 15 88
    Ou
  • Kitonorm : laboratoire Han AsiaBiotech, téléphone : 03 88 23 58 31.
Remèdes des Intolérances.
  • Prokytic plantarum K1 : laboratoire Han AsiaBiotech
  • Champignon médicinal Phellinus Linteus , 2 fois 2 gélules par jour pendant 2 mois : laboratoire Mycoceutics, téléphone 03 26 86 34 32
    Les posologies sont celles de l’adulte. Enfant de 10-12 ans, diviser par deux.
Restauration du terrain
  1. Restaurer la muqueuse intestinale
    • Orthoflore (pré et probiotique), une gélule par jour (laboratoire Phyt’Inov, Tél 0041 32 466 89 14)
    • Propolis pure, 4 fois 2 gélules pour un adulte (laboratoire Phyt’Inov)
    • L. Glutamine, 2 gélules de 500 mg (restaure la perméabilité intestinale)
  2. Tuer les germes pathogènes (Candida albicans, Flagelles, E. Coli)
    • Grapex à 66 % (laboratoire Normandy). 3 fois 15 gouttes – 1 mois
    • Mycolia (candidose) (laboratoire Aromalia, tél : 02 99 8000 16). 2 fois 2 gélules – 1 mois
    • Lysovir (virus et bactéries) (laboratoire Phyt’Inov) 2 fois 2 gélules
    • Brocolinum (hélicobacter) (laboratoire Phyt’Inov) 2 gélules
  3. Apports d’enzymes digestives
    • Régulat (laboratoire Normandy)
  4. Apports d’oméga 3 : anti-inflammatoire, améliore la fluidité membranaire
    • Lyprinol (super oméga 3 à base de Krill et de moules fraiches) (laboratoire Phyt’Inov)
  5. Détoxication hépatique
    • Silydium, 1 gélule avant les repas (laboratoire Phyt’Inov)
  6. Médecine orthomoléculaire
    • Algue aphanizoménon : AFALG (laboratoire Phyt’Inov) (L’aliment le plus complet de la planète (115 micro-nutriments) en dose progressive
    • vitamine E, B3, B6, B9, B12, caroténoïdes
    • Oligo-éléments : magnésium, fer (souvent en carence)
    • Acides aminés : glutathion, taurine, carnitine (à haute dose)
    • Coenzyme Q 10 : « booste » les mitochondries (centrales énergétiques). Ail-Co-enzyme Q10 – 2 fois 2 gélules, (laboratoire Phyt’Inov, Tél 0041 32 466 89 14)
    • Pré- et probiotiques : Orthoflore (12 milliards de bactéries) 1 gélule le matin (Laboratoire Phyt’Inov)
Le régime hypotoxique (ancestral)

Il convient de se rapprocher le plus possible du mode nutritionnel ancestral, sans imposer de restrictions trop draconiennes qui rebuteraient le malade. Le régime comporte des directives essentielles :

  • Supprimer toutes les céréales, à l’exception du riz et du sarrasin.
  • Supprimer tous les laits animaux, les fromages (y compris le yaourt) et leurs dérivés.
  • Manger un maximum d’aliments crus ou cuits à une température inférieure à 110°C pour conserver les vitamines.
  • Choisir si possible des aliments « biologiques » proches des produits originels.
  • S’abstenir de prendre des sucres rapides (raffiné, confiture, miel) avant 13 heures (évite les coups de pompes)
  • Privilégiez les oméga 3 (augmentent la fluidité membranaire et combattent l’inflammation)
  • Consommer des huiles de première pression à froid (olive, colza, lin)
  • Prendre des sels magnésiens, des oligo-éléments, des vitamines à doses physiologiques, des prébiotiques, des acides aminés.

80% des jeunes autistes seraient améliorés, parfois de façon « miraculeuse » par ce régime hypotoxique préconisé par le Dr Jean Seignalet.

Il est inutile de culpabiliser la mère, comme le font certains psychanalystes. Désormais les mamans peuvent se réjouir de trouver la solution à leur souffrance.

Voir livre « les intolérances alimentaires », Editions Guy Trédaniel
Voir « Le nouveau Vous et Votre santé ». Abonnement au 01 44 77 86 46

Leave a Reply

Your email address will not be published.

CONTACT
Nom*
Prénom*
Email*
Votre demande :*
Word Verification: