Aux Vertus des Plantes
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Silicium organique

Deux types de silicium existent dans la nature : le silicium minéral et le silicium organique.

Le SILICIUM MINERAL est le principal constituant de l’écorce terrestre (27,80 % en poids) après l’oxygène (46,60 %). On le trouve sous forme amorphe ou cristalline dans de nombreuses roches telles que les granites, les sables, les argiles, etc. Dans sa forme la plus simple, il est composé d’un atome de silicium et de deux atomes d’oxygène (Si02).

Le SILICIUM ORGANIQUE (organo-silicié dans la famille duquel on trouve les silanols, silane-diols et silane-triols) se différencie du précédent par la présence d’un (ou de plusieurs) atome(s) de carbone associé(s) à de l’hydrogène. Sous cette forme, c’est un des éléments essentiels de la matière vivante, comme le prouvent les dosages effectués aussi bien chez les plantes et les animaux que chez l’homme. Dans le corps de ce dernier, on en trouve notamment une quantité importante dans les tissus, les cartilages, le thymus, les parois vasculaires, les surrénales, le foie, la rate, le pancréas, etc.

L’être humain naît avec un « capital » de silicium organique qui va jouer un rôle fondamental dans la constitution, l’équilibre et la défense de son organisme.

Mais ce « capital » diminue inexorablement avec le vieillissement : on considère que l’homme perd graduellement 80 % de celui-ci entre la maturité sexuelle et la fin de sa vie, ce qui provoque l’affaiblissement de son système immunitaire et la dégénérescence de ses cellules. Ce phénomène est irréversible, car l’être humain est incapable de transformer le silicium minéral qu’il ingère (aliments, boissons) en silicium organique, et le silicium minéral (sous quelque forme qu’il soit, y compris la silice colloïdale) n’est pas assimilable ; il peut même être toxique à haute dose.

Jusqu’alors, il n’existait donc aucune possibilité de recharger l’organisme en silicium organique.

Contrairement à l’Homme, de nombreux micro-organismes et plantes (Diatomées, Radiolaires, champignons, etc.) sont capables, par des processus non (ou mal) expliqués à ce jour, d’effectuer la transformation du silicium minéral en silicium organique et d’assimiler ce dernier qu’ils fabriquent à partir du silicum minéral hydraté originel pour s’en nourrir.

Histoire du G5

Norbert Duffaut, chimiste organicien à l’université de Bordeaux, fut le premier à réussir la synthèse d’un silicium organique en 1957. Baptisé « D.N.R. », celui-ci fut utilisé sous diverses formes par de nombreux médecins dès 1958, et son efficacité prouvée dans le traitement des maladies les plus diverses.

Loïc Le Ribault, un des premiers utilisateurs du microscope électronique à balayage (M.E.B.), découvrit fortuitement les capacités (…) du silicium organique naturel en 1975, et, en collaboration avec des médecins, utilisa celui-ci (…) jusqu’en 1982.

En 1982, Duffaut et Le Ribault se rencontrèrent. Ils travaillèrent ensemble à la mise au point de nouvelles molécules de silicium organique à usage thérapeutique jusqu’en 1993, date du décès de Duffaut.

Jusqu’alors, pour que les organo-siliciés soient actifs, on devait leur adjoindre de faibles quantités de produits utilisés en allopathie ou homéopathie, produits qui étaient choisis de façon spécifique selon les affections à traiter. En outre, ils ne pouvaient être utilisés que par applications cutanées (compresses, tamponnements, ionocinèse, etc). Enfin, la présence d’acide salicylique dans les produits interdisait leur utilisation par les patients allergiques aux produits salicylés (aspirine).

En 1994, Le Ribault met au point une nouvelle molécule, testée depuis 1991, pouvant être utilisée sans rajoût de complément (…) quelconque dans (…) la plupart des problèmes. Autre nouveauté importante : sous forme liquide, ce silicium organique (baptisé « G5 »), dépourvu d’acide salicylique, ne présente aucune toxicité et devient désormais buvable. Mais il peut aussi être utilisé sous forme liquide ou de gel pour des applications cutanées.

Le Ribault découvrit également que le silicium organique était d’autant plus efficace que la solution était pure (autrement dit ne contenait que du silicium), et définit la concentration idéale en silicium du produit. Celle-ci, très faible, ne doit pas excéder 0,2 % de solution siliciée diluée dans l’eau.

Lire « L’histoire VRAIE du silicium organique » (par l’association AMESSI, éditions Guy Trédaniel, avril 2006)

Loic Le Ribault – Combat pour la liberté thérapeutique

COMMENT UNE MOLECULE UNIQUE PEUT-ELLE AVOIR UN CHAMP D’ACTION AUSSI LARGE ?

Compte tenu du fait que des études scientifiques prouvent que tout désordre de l’organisme provient au moins en partie d’un déséquilibre électrique cellulaire : on sait qu’une cellule en bonne état est électriquement parfaitement équilibrée, avec son pôle négatif exactement aligné avec son pôle positif.

Par contre, une cellule déficiente (suite à une agression, à une maladie, à la vieillesse, etc.) présente des pôles déséquilibrés, qui ne sont donc plus alignés. Or le G5 est chargé à l’extrême en ions positifs et négatifs instables, qui ne cessent de « tourner » autour de chacune de ses molécules.

Le G5 pourrait donc intervenir dans l’organisme pour rétablir la polarité des cellules déficientes, libérant (ou échangeant) selon les cas des ions positifs ou négatifs. Il serait en quelque sorte un rééquilibrant ionique de l’ensemble de l’organisme, dont l’action donnerait ou contribuerait à donner aux cellules de celui-ci l’énergie nécessaire pour lutter contre tous les types d’agressions dont il est victime.

C’est sans doute ce qui explique la sensation de chaleur, ou de froid, ou de picotements électriques, que les utilisateurs ressentent circuler dans leur corps, parfois quelques minutes seulement après absorption ou aplication de G5.

Le G5 n’est donc pas un médicament au sens classique du terme, mais un renforçateur des défenses naturelles de l’organisme. C’est ce qui expliquerait les résultats obtenus grâce à lui dans des problèmes les plus variées.

FICHE TECHNIQUE DU G5

Famille : Organo-silicié (ou silicium organique)
Dénomination scientifique : Monométhyl silane triol
pH : environ 6,6
Aspect : limpide et incolore, exempt de tout corps étranger
Saveur : légèrement âcre
Composition des produits prêts à emploi : G5 liquide : 0,2 % de solution de monométhyl silane triol,eau,conservateur.
G5 gel : 0,2 % de solution de monométhyl silane triol,gel végétal neutre, conservateur extrait de pepins de pamplemousse
Durée de conservation : Récipient ouvert : 3-6 mois après ouverture
Récipient non ouvert : au moins trois ans

Il n’est pas nécessaire de conserver le G5 dans un réfrigérateur

Propriétés du G5

Son efficacité et non toxicité est prouvée par des tests officiels (1) et de multiples témoignages de médecins et (…) utilisateurs, étayés par des documents de tous ordres (analyses de sang, radios, photographies, etc.) ;

Il est assimilable par l’organisme humain et par celui des animaux et des végétaux. De nombreuses applications vétérinaires ont été réalisées sur du bétail (chevaux, vaches, porcs), des volailles (poules et canards), des poissons d’aquarium, des chiens et des chats.

Il ne présente aucune toxicité (2) ;

  • Il joue un rôle important dans la restructuration des fibres d’élastine et de collagène, dans les stades précoces de la minéralisation osseuse et dans le métabolisme général de l’organisme ;
  • Il possède la propriété de traverser le derme et l’épiderme pour diffuser ensuite dans l’ensemble de l’organisme(…) ;
  • Il est compatible avec toute thérapie à laquelle sont éventuellement soumis les patients avant ou pendant son utilisation ;
  • Il accélère certains processus biologiques (…) ;
  • Il renforce les défenses immunitaires de l’organisme ;
  • Il dynamise, protège (…) l’ensemble des cellules du corps ;
  • Il ne provoque aucun effet secondaire, même après utilisation durant plusieurs années consécutives ;
  • C’est un « anti-douleur », dont l’action est souvent perceptible au bout de quelques minutes seulement. Contre les piqûres de méduses, les coupures, les brûlures et les coups de soleil, notamment, son efficacité est telle qu’il a gagné dans les Caraïbes le surnom de « Pain Killer » (le « Tueur de douleurs »).

Le G5 peut être utilisé par les enfants en bas âge et les femmes enceintes.

(1) Tests officiels réalisés selon les normes américaines (37 CFR § 1, 132) par le professeur Jean Cahn, directeur de l’Institut Sir International, professeur de pharmacologie et de neurobiologie à la faculté des Sciences et à la faculté de Médecine de Pavie (Italie).

(2) Tests officiels réalisés par l’Agence Française du Médicament (ministère français de la Santé) en décembre 1995 et par le laboratoire Evic Ceba en 1995 et 2004, en conformité avec la Directive européenne 86/609/CEE du 24 novembre 1986.

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