Aux Vertus des Plantes
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Conjunctivitis – Conjonctivite

On parle ici d’une inflammation par irritation ou infection de la conjonctive oculaire, c’est-à-dire de la membrane transparente qui recouvre l’intérieur des paupières et le blanc de l’œil. Elle est parfois associée à une inflammation de la cornée (kératite). On parle alors de kérato-conjonctivite.

Risques / Causes

Dans le cas des conjonctivites infectieuses, il y a un risque de transmission et il faut donc prendre les mesures d’hygiène nécessaires pour éviter autant que possible une épidémie (surtout en milieu collectif comme les écoles) : ne pas toucher les autres personnes (éviter les baisers), bien se laver les mains, ne pas porter de lentilles, ne pas partager son maquillage ou son linge de toilette.

Il existe plusieurs catégories de conjonctivites : les allergiques et les infectieuses – qui regroupent elles-mêmes les conjonctivites virales et bactériennes.

Les conjonctivites allergiques sont souvent couplées à d’autres manifestations allergiques : asthme, rhinite… En fonction de l’allergène en cause, elles peuvent se produire de façon saisonnière au printemps et à l’automne (pollens), mais aussi toute l’année (acariens, poils animaux, etc.). Il y a souvent une prédisposition familiale.

Les conjonctivites infectieuses sont plus fréquentes. Elles sont dues à la contamination locale par une bactérie ou un virus.

We are talking about by irritation or inflammation of the conjunctiva infection, that is to say, the transparent membrane that covers the inside of the eyelids and the white of the eye. It is sometimes associated with inflammation of the cornea (keratitis). This is called keratoconjunctivitis.

Risks / Causes

In the case of infectious conjunctivitis, there is a risk of transmission and we must take the necessary hygiene measures to avoid as far as possible epidemic (especially in the middle class, such as schools): Do not touch other people (avoid kissing), wash their hands, do not wear lenses, do not share makeup or towels.

There are several types of conjunctivitis: allergic and infectious – which group themselves viral and bacterial conjunctivitis.

Allergic conjunctivitis is often coupled with other allergic manifestations: asthma, rhinitis … Depending on the allergen, they can occur seasonally in spring and fall (pollens), but also all year (mites, animal hair, etc.). There is often a family predisposition.

Infectious conjunctivitis is more common. They are due to local contamination by bacteria or a virus.

renal colic – Coliques néphrétiques

La colique néphrétique est un syndrome douloureux lombo- abdominal aigu résultant de la mise en tension brutale de la voie excrétrice du haut appareil urinaire, en amont d’une obstruction, quelle qu’en soit la cause.

Cette définition médicale peut se dire plus simplement ainsi : quelque chose bloque la voie de sortie de l’urine (uretère) qui va du rein à la vessie.

L’urine s’accumule en amont du blocage et distend rapidement l’uretère puis le rein. Cette distension est très douloureuse et agite le patient ; on parle populairement de « colique frénétique ». C’est une urgence médicale.

Risques

Le risque est de détériorer le rein bloqué par l’urine qui ne s’évacue plus : on parle d’insuffisance rénale. L’infection des urines stagnantes est aussi à craindre, elle peut s’étendre rapidement au rein et contribuer à le détruire. Elle constitue un foyer de septicémie.

Pour l’Association française d’Urologie (AFU, recommandations actualisées, 2008), elle représente 1 à 2% des admissions aux urgences hospitalières, et concerne préférentiellement l’homme de 20 à 60 ans ; son taux de récidive est important (50 à 70% dans les 10 ans). Dans une communication récente (Bensalah et Gautier, congrès de l’AFU, 2011), une étude épidémiologique estime à 100 000 le nombre de coliques néphrétiques annuelles, en France. La moitié serait due à des calculs inférieurs à 6 mm.

La cause de l’obstruction urinaire est donc une lithiase (calcul) dans la grande majorité des cas ; or la fréquence des calculs urinaires croît régulièrement dans le monde, en rapport avec la modification de l’alimentation et de l’hygiène de vie, ainsi que par les médicaments et les maladies qui favorisent leur survenue.

Renal colic is a painful acute abdominal lombo- syndrome resulting from the sudden tensioning of the urinary tract of the upper urinary tract, upstream obstruction, whatever the cause.

The medical definition can say simply this: something is blocking the way out of the urine (ureter) that goes from the kidney to the bladder.

The urine builds up upstream of the blocking and rapidly distends the ureter and kidney. This distension is very painful and agitated patient; is popularly referred to as “frantic colic.” This is a medical emergency.

Risks

The risk of damaging the kidney blocked urine that drains more: we speak of kidney failure. Infection of stagnant urine is also a risk, it can quickly spread to the kidneys and help destroy it. It is a sepsis home.

For the French Association of Urology (AFU, updated recommendations, 2008), it represents 1 to 2% of admissions to hospital emergency and preferentially concerns man of 20-60 years; the recurrence rate is high (50-70% in 10 years). In a recent communication (Bensalah and Gautier, Congress EBA, 2011), an epidemiological study estimated 100,000 the number of annual renal colic, France. Half was due to the calculations below 6 mm.

The cause of urinary obstruction is a lithiasis (calculation) in the majority of cases; or the frequency of urinary stones steadily growing in the world, in connection with the change of diet and lifestyle, as well as drugs and diseases that promote their occurrence.

Cholesterol and High Cholesterol – Cholestérol et hyper-cholestérolémie

Le cholestérol est un composant essentiel des cellules et de la fabrication de certaines hormones. Le cholestérol est donc indispensable à la vie.

Deux types de cholestérol coexistent : le « mauvais » cholestérol ou LDL-cholestérol qui est la fraction responsable du développement de la plaque d’athérome sur les artères qui vont alors se boucher progressivement : l’athérosclérose, et le « bon » cholestérol ou HDL-cholestérol dont l’augmentation du taux est, à l’inverse, associée à une diminution du risque vasculaire.

L’hypercholestérolémie correspond, dans le langage courant à une augmentation en excès du LDL-cholestérol qui est un facteur de risque cardiovasculaire (FRCV). Il peut être responsable de maladies cardio-vasculaires telles qu’un infarctus du myocarde, un accident vasculaire cérébral ou une artériopathie des membres inférieurs.

L’hypercholestérolémie fait partie du groupe des dyslipidémies dont fait également partie l’hypertriglycéridémie qui est un excès de triglycérides dans le sang avec des conséquences relativement similaire à l’hypercholestérolémie.

L’hypercholestérolémie est un facteur modifiable par le régime alimentaire et par l’administration de médicament hypolipémiant (statines principalement).

L’hypercholestérolémie est fréquente. Selon l’Étude national nutrition santé (ENNS 2006-2007), 30,1 % des personnes âgées de 18 à 74 ans avaient, soit un traitement hypolipémiant, soit un taux élevé de LDL-cholestérol dans le sang : 18,9 % avaient un taux de LDL-cholestérol élevé ( >1,6 g/l ) et 12,2 % suivaient un traitement médicamenteux par hypolipémiant.

L’hypercholestérolémie représente en France et dans le monde un enjeu majeur de Santé Publique.

Risques

L’hypercholestérolémie (excès de « mauvais » cholestérol dans le sang) engendre la formation de plaques sur les parois des artères, ces plaques comprennent également du calcium et d’autres composés. Il s’agit de plaque d’athérome. L’augmentation de l’épaisseur de ces plaques entraine une réduction de l’espace des artères dans lesquelles circule le sang et ainsi provoque une diminution du flux sanguin. A l’extrême, ces plaques peuvent occlure totalement les artères.
Par ailleurs, dans certaines conditions, ces plaques d’athéromes peuvent se détacher de la paroi artérielle, souvent en se fragmentant. Ces petits morceaux de plaques sont propulsés par le flux sanguin jusque dans des tous petits vaisseaux où ils vont être piégés et ainsi boucher ces petits vaisseaux.

Ces phénomènes d’artériosclérose ou d’athérosclérose sont un facteur de risque cardio-vasculaire, c’est-à-dire qu’ils sont potentiellement responsables, avec d’autres facteurs, d’évènements grave tels que :
– Infarctus du myocarde pouvant causer la mort ou l’insuffisance cardiaque
– Accidents vasculaires cérébraux fréquemment responsable de lourdes séquelles altérant la qualité de vie voire le décès
– Artériopathie oblitérante des membres inférieurs avec pour conséquence d’abord une difficulté à la marche puis des lésions des jambes pouvant conduire à l’amputation
– L’insuffisance rénale chronique qui a son stade terminal peut nécessiter le recours à la dialyse.

Les autres facteurs de risques cardiovasculaires sont de deux types :
– Les non modifiables : âge > 50ans, sexe masculin, antécédents familiaux de maladies cardio-vasculaires
– Les modifiables dont fait partie l’hypercholestérolémie : hypertension artérielle, diabète, obésité, sédentarité, tabagisme

Cholesterol is an essential component of the cells and the production of certain hormones. Cholesterol is essential to life.

Two types of cholesterol coexist: the “bad” cholesterol or LDL cholesterol fraction that is responsible for the development of atherosclerotic plaque in the arteries that then will gradually clog: atherosclerosis, and “good” cholesterol or HDL -cholesterol including increased rate is conversely associated with decreased cardiovascular risk.

High cholesterol is, in common parlance to an excess increase in LDL cholesterol which is a cardiovascular risk factor (FRCV). It may be responsible for cardiovascular diseases such as myocardial infarction, stroke or peripheral arterial disease.

High cholesterol is part of the group of dyslipidemia including hypertriglyceridemia is also the part which is an excess of triglycerides in the blood with relatively similar to cholesterol consequences.

High cholesterol is a modifiable factor in the diet and the lipid-lowering drug administration (primarily statins).

High cholesterol is common. According to the National Health and Nutrition Survey (ENNS 2006-2007), 30.1% of people aged 18-74 years had either lipid-lowering therapy, a high LDL-cholesterol in the blood: 18.9% had high LDL-cholesterol levels (> 1.6 g / l) and 12.2% were receiving lipid-lowering drug therapy.

High cholesterol is in France and in the world a major challenge for public health.

Risks

Hypercholesterolemia (excess “bad” cholesterol in the blood) causes formation of plaques on the artery walls, these plates also include calcium and other compounds. This is atherosclerotic plaque. Increasing the thickness of these plates causes a reduction in the arteries of the space in which circulates the blood and thus causes a decrease in blood flow. In extreme cases, these plates can completely occlude the artery.
Furthermore, under certain conditions, these atheromatous plaques may break away from the arterial wall, often fragmenting. These small pieces of plates are propelled by the bloodstream into all the small vessels where they will be trapped and thus clog the small vessels.

These arteriosclerosis or atherosclerosis phenomena are a cardiovascular risk factor, that is to say, they are potentially liable, together with other factors of serious events such as:
– Myocardial infarction can cause death or heart failure
– Strokes frequently responsible for serious sequelae altering the quality of life or death
– Arterial occlusive members with difficulty walking can result in first leg of lesions that can lead to amputation
– Chronic renal failure which has its terminal stage may require the use of dialysis.

Other cardiovascular risk factors are of two types:
– Non-modifiable: age> 50 years, male gender, family history of cardiovascular disease
– Editable which includes high cholesterol: high blood pressure, diabetes, obesity, sedentary lifestyle, smoking

general cancer – Cancer généralités

Chacun d’entre nous est constitué d’environ 100 000 milliards de cellules. Celles-ci se multiplient, se différencient puis meurent (apoptose).
Les cellules cancéreuses, en revanche, prolifèrent de façon anarchique.

Le point de départ de tout cancer, quel qu’il soit et où qu’il apparaisse : la focalisation d’une seule et même cellule sur son propre intérêt. Désormais, celle-ci ne remplit plus la fonction pour laquelle elle a été fabriquée et prolifère à l’infini et de façon incontrôlée. Elle refuse l’ordre de se suicider (déclenché en temps normal lorsque l’ADN d’une cellule est trop endommagé pour être réparé), et ignore les messages des cellules voisines lui commandant d’arrêter de se multiplier. De plus, la tumeur formée se révèle capable d’induire la création de nouveaux vaisseaux sanguins pour se connecter au réseau vasculaire en place. Ainsi, elle puise les nutriments dont elle a besoin pour se développer. Certaines cellules tumorales peuvent, par ailleurs, se détacher et envahir d’autres organes via la circulation sanguine et le système lymphatique.

Risques

A la différence de beaucoup d’autres maladies, le cancer est « multifactoriel ». Les anomalies génétiques responsables de la transformation maligne sont dues à divers éléments perturbateurs. Tout le travail des épidémiologistes consiste à identifier et à évaluer ces facteurs de risque. Parmi les cancérogènes avérés se trouvent les facteurs :
– liés à nos comportements (tabac, alimentation, soleil….)
– liés à notre lieu de vie (exposition professionnelle à certaines substances…)
– biologiques (1 cancer sur 5 aurait une origine infectieuse, papillomavirus pour le cancer du col de l’utérus par exemple)
– héréditaires (5 à 10% des cancers sont liés à une prédisposition génétique héréditaire)

Each of us is made up of approximately 100,000 billion cells. They multiply, differentiate and die (apoptosis).
Cancer cells, however, proliferate uncontrollably.
The starting point of any cancer, whatever it is and wherever it appears: the focus of a single cell on its own interest. Now it no longer fulfills the function for which it was manufactured, and proliferating endlessly and uncontrollably. She refuses the order to commit suicide (normally triggered when the DNA of a cell is too damaged to be repaired), and ignores the messages neighboring cells commanding him to stop multiplying. In addition, the tumor formed proves capable of inducing the creation of new blood vessels to connect to the vascular network in place. Thus, it draws the nutrients it needs to grow. Some tumor cells may also detach and invade other organs through the bloodstream and lymphatic system.

Risks

Unlike many other diseases, cancer is “multi-factorial”. Genetic abnormalities responsible for the malignant transformation due to various impurity elements. All the work of epidemiologists is to identify and assess these risk factors. Among the proven carcinogenic factors are:
– Related behaviors (smoking, diet, sun …).
– Related to our home (occupational exposure to certain substances …)
– Biological (1 in 5 cancer have an infectious origin, papillomavirus for cervical cancer for example)
– Hereditary (5 to 10% of cancers are associated with an inherited genetic predisposition)

Ovarian cancer – Cancer des ovaires

Composés de différents tissus, les ovaires sont des glandes génitales féminines situés de chaque côté de l’utérus auquel ils sont reliés par les trompes de Fallope.

Ils ont deux fonctions : produire des ovules et sécréter des hormones sexuelles (estrogènes et progestérone).

Causes

Il existe plusieurs facteurs de risque du cancer des ovaires :

L’âge.
L’âge est le principal facteur de risque, en effet le risque de développer un cancer de l’ovaire augmente régulièrement avec l’âge.

Les facteurs familiaux.
Les cancers familiaux ne représenteraient que 5 à 10% des cas. Les gènes actuellement identifiés pour leur implication dans la prédisposition au cancer de l’ovaire sont les mêmes que ceux du cancer du sein ; le gène BRCA 1 et plus rarement le gène BRCA 2.

Aussi, lorsqu’il existe plusieurs cas de cancers de l’ovaire ou du sein dans une même famille, une consultation d’oncogénétique doit être envisagée.

Les facteurs hormonaux.
Des études montrent que le risque pourrait être plus élevé chez les femmes qui présentent des troubles du fonctionnement ovarien comme la stérilité. L’utilisation des traitements de la ménopause ne semble pas avoir d’influence importante sur le risque de cancer de l’ovaire.

Compounds of different tissues, the ovaries of female genital glands on each side of the uterus to which they are connected by the fallopian tubes.

They have two functions: producing eggs and secrete sex hormones (estrogen and progesterone).

Causes

There are several risk factors for ovarian cancer:

Age.
Age is the main risk factor, indeed the risk of developing ovarian cancer increases steadily with age.

Family factors.
The familial cancers account for only 5-10% of cases. Currently identified genes for involvement in susceptibility to ovarian cancer are the same as those of the breast cancer; BRCA 1 and BRCA 2 rarely.

Also, when there are several cases of ovarian or breast cancer in the same family, a cancer genetics of consultation should be considered.

Hormonal factors.
Studies show that the risk may be higher in women with ovarian function disorders such as infertility. The use of treatments for menopause does not appear to have a significant influence on the risk of ovarian cancer.

Bladder cancer – Cancer de la vessie

La vessie est un sac musculeux où s’accumule l’urine acheminée depuis les deux reins par les uretères. La vessie évacue l’urine par un autre canal appelé l’urètre. Chez la femme, l’urètre, très court, est placé juste en avant du vagin. Chez l’homme, l’urètre est un canal beaucoup plus long qui traverse d’abord la prostate puis parcourt la moitié inférieure du pénis.

Causes

Le tabac est un facteur de risque majeur du cancer de la vessie. Le contact prolongé avec certains produits chimiques, les amines aromatiques (présents dans l’industrie du caoutchouc ou dans les industries des colorants par exemple) sont également considérés comme des facteurs de risque.

La bilharziose, maladie parasitaire qui sévit notamment en Egypte, peut également entrainer la formation d‘un cancer de la vessie.

The bladder is a muscular bag which sent the urine accumulate from both kidneys through the ureters. Bladder urine discharged by another channel called the urethra. In women, the urethra, very short, is placed just in front of the vagina. In humans, the urethra is a much longer channel, which first passes through the prostate and then traverses the lower half of the penis.

Causes

Tobacco is a major risk factor for bladder cancer. Prolonged contact with certain chemicals, aromatic amines (present in the rubber industry or in industries such dyes) are also considered risk factors.

Schistosomiasis, a parasitic disease rampant especially in Egypt, can also lead to the formation of bladder cancer.

Stomach cancer – Cancer de l’estomac

En 2005, selon l’Institut national de veille sanitaire, plus de 6 700 cas de cancers de l’estomac ont été diagnostiqués. Il se situe, par sa fréquence, au 9ème rang chez l’homme et au 13ème rang chez la femme.

Causes

L’alimentation
Une alimentation riche en aliments salés ou fumés augmente le risque de développer un cancer de l’estomac. En revanche, une alimentation riche en fruits et légumes diminuerait le risque.

L’hélicobacter pylori
Il s’agit d’une bactérie qui infecte l’estomac. Cette infection peut entraîner une gastrite. Des études ont permis de montrer que le risque de développer un cancer de l’estomac est 2 à 3 fois plus élevé chez les personnes qui ont été infectés par cette bactérie.

Les antécédents personnels
La gastrite atrophique (lésions précancéreuses) entraîne une augmentation du risque de cancer de l’estomac, de même que la présence de polypes gastriques, d’un ulcère gastrique. Les antécédents de chirurgie gastrique augmentent également ce risque.

Le tabac
Le tabac favorise aussi l’apparition d’un cancer de l’estomac.

In 2005, according to the National Institute of Health Surveillance, more than 6700 cases of stomach cancer were diagnosed. It is, by its frequency, to rank ninth in men and the 13th rank in women.

Causes

Power
A diet high in salted, smoked foods increases the risk of developing stomach cancer. In contrast, a diet rich in fruits and vegetables reduce the risk.
Helicobacter pylori
It is a bacterium that infects the stomach. This infection can cause gastritis. Studies have shown that the risk of developing stomach cancer is 2-3 times higher in people who have been infected with this bacterium.
Personal history
Atrophic gastritis (precancer) increases the risk of stomach cancer, as well as the presence of gastric polyps, gastric ulcer. The history of gastric surgery also increase this risk.
Tobacco
Tobacco also promotes the development of stomach cancer.

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