Aux Vertus des Plantes
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Phytothérapie

Argile

L’analyse effectuée en mai 1928 par le Pr Laborde, professeur à la Faculté de Pharmacie de Strasbourg, a permis de constater que l’argile curative est stérile, c’est-à-dire exemple de germes microbiens.

Il semble, par ailleurs, que l’argile soit radioactive, comme d’ailleurs probablement tous les corps. Sa concentration serait selon les cas de 0,3 à 1,25 unité Mache.

L’analyse de l’argile verte a donné les chiffres suivants : silice : 49,10 % ; alumine : 14,61 % : sesquioxyde de fer : 5,65 % ; chaux : 4,44 % ; magnésie : 4,24 % ; oxydes alcalins : 3,08 % ; anhydride titanique : 0,74 % ; humidité : 7,40 % ; perte au feu : 10,85 %.

Aigremoine

Dans l’Antiquité, on attribuait à l’Aigremoine des vertus étendues contre la cataracte, la jaunisse, la morsure des serpents. Elle entra ensuite dans la composition de l’Eau d’Arquebuse.
Son astringence, due à sa teneur en tanin, la faisait recommander par le Dr Reuter contre les crachements de sang des tuberculeux.
De nos jours, on l’utilise encore pour diminuer le sucre urinaire et pour calmer la soif des diabétiques, tout en stimulant les fonctions digestives.

Mais on lui reconnaît surtout les propriétés suivantes, d’ailleurs communes aux autres Rosacées : grâce au tanin qu’elle contient la plante est un anti diarrhéique remarquable, employé avec succès dans les troubles digestifs accompagnés de diarrhée, l’entérite, les affections chroniques du foie.

Elle est aussi très précieuse et bienfaisante contre les affections de la gorge et de la bouche. Efficace contre le mal de gorge, l’enrouement, l’angine simple, elle donne surtout de très bons résultats, selon le Dr Leclerc, dans les traitements des pharyngites chroniques chez les chanteurs, les personnes qui parlent en public, les grands fumeurs. Elle est renommée contre toutes les inflammations et ulcérations de la bouche (frottement du dentier, par exemple).

Acérola

L’acérola est un arbre dont le fruit est appelé cerise de la Barbade ou cerise des Antilles car ressemblant beaucoup à la cerise.

Le fruit de l’acérola, comestible, de goût acidulé, est une source naturelle remarquable de vitamine C.

Composition
Le fruit de l’acérola est considéré comme un superfruit car il contient 20 à 30 fois plus de vitamine C que l’orange. Ceci en fait un des fruits les plus riches en vitamine C (1 000 mg à 2 000 mg/100 g), après le fruit du Terminalia ferdinandiana (50x) et celui du Camu-Camu (Myrciaria dubia) (30-40x) 3. Il est également riche en vitamine B6, en vitamine B1 et en vitamine A ainsi qu’en flavonoïdes et en minéraux (fer, calcium, phosphore, potassium et magnésium).

Lapacho – Pau d’Arco

Ce document ne peut, en aucun cas, se substituer à un médecin, seul qualifié – après un examen clinique approfondi et établissement d’un diagnostic précis – pour faire la prescription appropriée aux troubles ou maladies dont le lecteur pourrait souffrir. Conformément à la jurisprudence, l’éditeur décline toute responsabilité quant aux erreurs ou omissions qui pourraient être trouvées dans ce texte en dépit des soins attentifs apportés à sa réalisation.

L’arbre Lapacho

Lapacho est un arbre que l’on retrouve dans la jungle de l’Amérique du Sud. C’est le seul arbre de ces régions qui est complètement immunisé contre les infections provenant des champignons, c’est pourquoi on l’utilise avec succès pour toutes les infections fongiques (Candida Albican), parasitaires, bactériennes et virales.

Selon des enseignements provenant des Indiens Incas d’Amérique du Sud, l’écorce interne du Lapacho a été utilisée depuis des siècles pour traiter le cancer et une foule d’autres maladies.

Selon des experts en remèdes exotiques traditionnels, on ne devrait pas penser que les capacités du Lapacho se limitent au cancer, il a prouvé son efficacité pour éliminer les radicaux libres, diminuer la douleur et l’inflammation lors de problèmes rhumatismaux et arthritiques.

De plus, il contient 16 quinones qui se sont avérés efficaces dans le traitement de l’anémie, la leucémie, la maladie de Hodgkin, la maladie de Parkinson, l’artériosclérose, les problèmes gastriques, colite, polypes, les inflammations du système reproducteur, leucorrhée, cystite, prostatite, et les problèmes cutanés tels que lupus, eczéma et psoriasis.

Utilisation traditionnelle

L’ecorce de cet arbre sud -américain est traditionnellement utilisée comme antibiotique et antiviral pour soulager un nombre important de troubles et infections (rhume, grippe, fièvre) , pour améliorer la circulation sanguine, stimuler le fonctionnement du système immunitaire et d’organes clés (foie, rate, reins). On sait déjà que sa très haute teneur en fer en fait un excellent anti-anémique et facilite la formation des globules rouges.

Préparation :

  • L’écorce de l’arbre se trouve , coupée en fines lamelles et utilisée en décoction. 2 cuillères à soupe dans un litre d’eau. Faire bouillir à feu doux 15 minutes puis laisser infuser 15 autres minutes. Boire deux à trois tasses par jour.

Posologie :

  • Usage préventif : 3 à 4 tasses par jour pendant 1 à 2 mois.
  • Usage curatif : 1 à 2 litres par jour pendant une période prolongée.

Effets secondaires et contre-indications :

• Pris en trop grande quantité, il peut occasionner des nausées et des vomissements. Respectez les doses !
• Rigoureusement contre-indiqué aux hémophiles et aux personnes ayant en prescription des couramines ou d’autres anticoagulants sanguins.

Les guérisseurs de l’empire Inca utilisaient fréquemment dans leurs prescriptions l’écorce d’un arbre aux multiples vertus thérapeutiques qu’ils appelaient Tajibo (traduisez “celui qui tue les maux”). Plusieurs études confirment l’intérêt de l’usage thérapeutique de cet arbre, aujourd’hui communément appelé Lapacho, et de son écorce dans le traitement des infections fongiques ou parasitaires, mais également dans le traitement du cancer.

L‘écorce de lapacho (Tecoma curialis) a été découverte par les Indiens Kallawayas, des guérisseurs itinérants incas qui l’ont fait connaître dans toute l’Amérique du Sud. Seul arbre à être complètement immunisé contre les infections provenant de champignons, il était fréquemment employé dans les cas d’infections fongiques. Par ailleurs, les guérisseurs traditionnels s’en servaient pour venir à bout de problèmes cutanés tels que l”acné, l’eczéma, l’herpès ou le psoriasis et le prescrivaient également comme analgésique pour diminuer la douleur.

Enfin, les prescriptions traditionnelles le recommandaient pour d’autres pathologies comme les excroissances graisseuses ou les kystes.

Un concentré de minéraux et d’oligo-éléments

Le lapacho est un arbre à racine pénétrante qui parvient à puiser des concentrations exceptionnelles de sels minéraux et d’oligo-éléments puisés dans les profondeurs de la terre.

Son écorce est riche en :

  • Calcium, fer, magnesium, phosphore, zinc, chrome, silicium, manganèse, cuivre, potassium, sodium, cobalt, bore, argent, or, strontium, barium, nickel…
    Éléments souvent en carence dans l’alimentation moderne et pourtant nécessaires au fonctionnement et au renforcement du système immunitaire, au bon drainage hépatique et à la vitalité quotidienne.
  • De plus, son aubier contient non seulement des tanins, mais également des flavonoïdes, reconnus pour leurs pouvoirs neutralisants des oxydes dans le sang.
  • Enfin, le lapacho renferme des coumarines (fluidifiants sanguins) efficaces comme régénérateurs sanguins, revitalisants, hypotenseurs, et contre les céphalées et les faiblesses cardiaques. Il est de plus dépourvu de caféine.
Deux alcaloïdes spécifiques dans le Lapacho

Aujourd’hui, grâce aux précieuses indications des tradipraticiens, des laboratoires de recherche et des universités du monde entier se penchent avec intérêt sur “celui qui tue les maux”.

Les premiers résultats confirment le savoir empirique des guérisseurs. Il est maintenant admis que l’écorce de lapacho contient 16 quinones différentes. Ces quinones, dont la vitamine K et la quinine, jouent un rôle capital dans tout organisme vivant, plante ou animal, en fixant le calcium sur certaines protéines. Ce qui leur confère une double action, en activant la circulation sanguine d’une part et le métabolisme calcique d’autre part.

Lapacho : une action antitumorale et de lutte contre Candida Albicans

Par ailleurs, les quinones, depuis une décennie, attirent fortement l’attention des scientifiques car ce sont de puissants antibiotiques et anticancéreux. La paraquinone et l’anthraquinone sont reconnues pour leur action sur les radicaux libres et pour leur capacité à pénétrer la paroi des cellules cancéreuses, particulièrement dures à percer, et à les détruire de l’intérieur. Le département de chimie de l’université de Dehli a mis en évidence l’activité antitumorale de deux quinones uniquement présentes dans l’écorce du Lapacho, la técomaquinone I et II.

Chacune des 16 quinones est une substance qui agit puissamment sur de nombreuses fonctions biologiques. Pour exemple, deux principes isolés par le docteur Meyer du National Cancer Institut aux USA, le lapachol et le xyloïdine, ont été reconnus comme des antibiotiques, antiviraux et anti-inflammatoires très efficaces. Le xyloïdine a également fait ses preuves contre plusieurs bactéries et infections fongiques comme le Candida albicans ou le trycophyton mentagrophyte.

Recette traditionnelle du Père Zago

Voici la recette traditionnelle de jus d’aloe arborescens telle qu’elle a été perfectionnée par le Père Romano Zago et telle qu’elle est transcrite dans son ouvrage “Du cancer on peut guérir”.

INGREDIENTS :

  • Un demi kilo de miel (biologique)
  • 40-50 ml de distillat (eau de vie, Cognac,whisky,etc.)
  • 350 grammes de feuilles d’aloe arborescens, 2, 3, 4 ou 5, jusqu’à atteindre le poids.

PREPARATION :

  1. Enlever les épines des bords des feuilles et la poussière qui y est déposée, en se servant d’un chiffon sec ou d’une éponge.
  2. Couper les feuilles en morceaux (sans enlever la peau)
  3. Mettre les morceaux dans le mixeur avec le miel et le distillat choisi
  4. Ne pas filtrer ni cuire
  5. La crème obtenue doit être mise dans le réfrigérateur, dans un pot sombre, bien fermé.

DOSES CONSEILLEES :

Une cuillerée du produit 20 ou 30 minutes avant les trois repas principaux
Bien agiter avant l’emploi
Une fois le traitement commencé, prendre tout le contenu du pot sur la durée (1 mois en faisant deux fois 10 jours avec une pause de 4 à 5 jours entre les deux).

Régime hypotoxique du Dr Jean Seignalet

Les principaux fondements sont les suivants :

  • Exclusions des céréales, à l’exception du riz ;
  • Exclusion des laits animaux et de leurs dérivés ;
  • Consommation de beaucoup de produits crus;
  • Utilisation d’huiles vierges, obtenues pour les produits biologiques.

ALIMENTS INTERDITS

  • Blé dur et blé tendre (froment) : pâtes, semoule, pain, farine, pizzas, croissants, brioches, gâteaux, galettes, biscuits, biscottes, son ;
  • La plupart des céréales : seigle, orge, maïs, avoine ;
  • Laits animaux et leurs dérivés : beurre, fromages, crème, yaourts, glaces ;
  • Sel blanc raffiné ;
  • Chocolat non biologique ;
  • Confitures ;
  • Huiles raffinées ;
  • Margarines ;
  • Bières…

ALIMENTS DECONSEILLES

Tous les aliments cuits, et en particulier :

  • Charcuteries cuites ;
  • Viandes cuites ;
  • Foie ;
  • Rognons ;
  • Œufs cuits ;
  • Poisson cuits ;
  • Huîtres cuites ;
  • Oléagineux cuits.

Si l’on souhaite cuire certains produits, le faire soit brièvement, soit à l’étouffée, soit à la vapeur douce.

ALIMENTS AUTORISES

  • Oméga 3 EPA DHA (huiles de poisson), 2 grammes par jour ;
  • Viandes crues ;
  • Charcuteries crues ;
  • Œufs crus ;
  • Crustacés ;
  • Fruits de mer ;
  • Légumes verts (cuits à l’étouffée ou à la vapeur douce) ;
  • Légumes secs (cuits à l’étouffée ou à la vapeur douce) ;
  • Crudités ;
  • Fruits frais ;
  • Fruits secs ;
  • Oléagineux crus ;
  • Miel ;
  • Pollens ;
  • Riz, sarrasin et sésame ;
  • Graines germées de céréales ancestrales et de légumineuses ;
  • Huiles obtenues par première pression à froid ;
  • Sel complet Symbiosal ;
  • Sucre complet ;
  • Eau de Mont Roucous ou Volvic ;
  • Chicorée, infusions, café (modérément), thé (modérément) ;
  • Toutes les boissons alcoolisées (modérément) sauf la bière ;
  • Prébiothiques : Orthoflore

Les polluants environnementaux et les métaux

Les six principaux métaux lourds sont :

  • l’aluminium,
  • le baryum,
  • le plomb,
  • le mercure,  le phosphore  et le manganèse, les trois derniers cités étant les plus dangereux.

Avec l’émergence de nouveaux produits de synthèse, la liste des polluants environnementaux neurotoxiques ne cesse de s’allonger.

L’intoxication lente aux métaux lourds est due principalement :

  • aux rejets industriels de mercure et de plomb dans l’atmosphère,
  • à la présence de divers métaux dans les amalgames dentaires (mercure, étain, cuivre, béryllium, argent…),
  • aux cigarettes (cadmium),
  • aux vaccins en général (aluminium), dont le plus dangereux est le ROR (rougeole-oreillon-rubéole) à cause de sa teneur en mercure.

Les métaux lourds, en s’accumulant dans l’organisme, neutraliseraient une classe d’enzymes (les peptidases) dont le rôle est de détruire un ensemble de protéines alimentaires provenant du gluten et des caséines du lait.

Ils ont la capacité d’induire un phénomène d’auto-immunité en plus des dépôts silencieux qui se figent dans les organismes.

Les pays industrialisés sont particulièrement concernés par une hausse des troubles du comportement et de la personnalité liés au mercure : hyperactivité, autisme, schizophrénie, épilepsie, repli sur soi…

Dès lors que ces systèmes enzymatiques sont inhibés, les aliments ne sont plus assimilés et les nutriments deviennent toxiques.

De ce fait, lorsque les protéines des céréales contenant du gluten et celles du lait de vache ne sont pas complètement dégradées, elles franchissent la paroi intestinale et passent dans le flux sanguin, du fait de la perméabilité exagérée de l’intestin. Ces peptides atteignent les récepteurs du cerveau spécifiques à ces substances, sous forme d’opioïdes, et vont se comporter dans l’organisme comme certains morphiniques. En occupant et en saturant les récepteurs opiacés, les peptides provenant du gluten et de la caséine vont provoquer un ensemble de troubles comportementaux et dérégler la gestion des neurotransmetteurs (la sérotonine et la dopamine).

Pathologies induites par les intolérances alimentaires
L’atteinte intestinale
  1. Les agents pathogènes, à force d’occupation du milieu intestinal, vont induire l’inflammation de la muqueuse et sa déformation. La muqueuse présente normalement des petits orifices ou jonctions qui permettent le passage des éléments nutritifs dans le sang et la lymphe lorsque l’inflammation perdure, les jonctions deviennent béantes.
  2. Cet état de porosité intestinale ouvre les portes aux pollutions et infections multiples et aux maladies plus graves de type auto-immun.
    • Lorsque la muqueuse est atteinte par l’inflammation et la porosité, les jonctions deviennent béantes.
    • La muqueuse ne parvenant plus à jouer son rôle de filtre des bactéries, virus, toxines, macro-molécules alimentaires s’engouffrent dans les jonctions et parfois les obstruent, puis passent dans le sang et déclenchent un chapelet de maladies secondaires…

Dans ce cas de figure, on retrouve plus de 80 % de nos maladies :

  • un bon nombre de maladies infectieuses (appareil urinaire, génital, pulmonaire, sphère ORL, cardiaque),
  • dermatoses : acné, eczéma, psoriasis, teint terne, vieillissement prématuré, arthrose toxinique, ostéoporose
  • états de fatigue, de surcharge hépatique où l’origine intestinale doit être considérée.
L’atteinte hépatique

Du fait de la porosité intestinale, des éléments indésirables vont passer en masse dans le sang.

C’est au foie que revient la tâche d’en faire le tri, afin de répartir dans l’organisme un sang épuré. Si les éléments toxiniques sont en nombre raisonnable, le foie accomplit cette mission et ainsi garantit la santé.

Tout se complique lorsque les toxines et les agents agresseurs sont en surnombre :

  • les hépatocytes (cellules hépatiques) ne sont plus capables d’assumer leur rôle, elles s’épuisent et laissent passer dans le sang :
    • agents infectieux,
    • débris alimentaires
    • polluants qui iront porter sur d’autres organes leurs méfaits
    • bactéries pathogènes, virus, parasites, candida albicans ou autres polluants vont envahir l’organisme, n’étant plus arrêtés ni par la barrière intestinale, ni par le filtre hépatique.

 

Les perturbations à distance

Les perturbations à distance s’expliquent par le fait que l’écosystème intestinal entretient des relations privilégiées, voire symboliques, avec certains organes tels le cerveau et le foie, C’est ainsi que toute perturbation fonctionnelle de la flore intestinale peut avoir des conséquences sur les rapports avec ces deux organes et réciproquement.

Sur le plan structurel et fonctionnel, le système nerveux intestinal et le cerveau présentent des analogies. Ils ont en commun les mêmes neurones sensoriels et moteurs, les mêmes circuits informationnels, les mêmes astrocytes et cellules gliales ainsi que les mêmes neurotransmetteurs (acétylcholine, noradrénaline, dopamine et sérotonine).

En effet, l’intestin contient plus de 100 millions de neurones, sécrète au moins 20 neurotransmetteurs identiques à ceux que l’on trouve dans le cerveau, produit 70 % des cellules immunitaires de l’organisme et héberge 100 000 milliards de bactéries.

L’assimilation des aliments et la digestion ne sont donc pas les seules fonctions du tube digestif, d’où le fait que l’on considère l’intestin comme un deuxième cerveau. D’ailleurs, le tube digestif peut communiquer avec notre cerveau au travers du système nerveux autonome (SNA).

La communication entre l’intestin et le cerveau peut s’interrompre, lorsqu’il y a inflammation intestinale :

  • la flore est perturbée,
  • la muqueuse intestinale devient hyperperméable
  • le système immunitaire intestinal se met en marche
  • toutes ces perturbations sont transmises au cerveau, et agressent la barrière hémato-encéphalique (le dernier filtre qui, lorsqu’il est débordé, provoque une altération neuronale à l’origine de la maladie d’Alzheimer et la sclérose en plaques).

Dès lors que l’intestin est enflammé et poreux, son système nerveux local est activé ainsi que les cellules nerveuses dans différentes régions du cerveau, ce qui donne lieu à des dérégulations métaboliques multiples et insoupçonnées. Les conséquences de la perturbation de la communication intestin-cerveau peuvent se manifester par :

  • une prise de poids,
  • une insulino-résistance
  • une hyperglycémie, c’est-à-dire l’ensemble des principales caractéristiques du syndrome métabolique.
  • la dépression peut aussi avoir pour origine et comme facteur d’entretien une inflammation d’origine digestive
  • toutes les maladies inflammatoires et auto-immunes, peuvant avoir pour origine une dysbiose :
    • polyarthrite rhumatoïde,
    • spondylarthrite ankylosante,
    • lupus,
    • diabète,
    • thyroïdite d’Hashimoto,
    • migraine,
    • fibromyalgie
    • syndrome métabolique,
    • obésité,
    • maladies cardio-vasculaires,
    • maladies neurodégénératives

Au-delà du tube digestif, les altérations peuvent contaminer :

  • d’autres muqueuses (vaginales, urinaires, respiratoires),
  • des tissus cutanés, articulaires et péri-articulaires..,
  • des pathologies neurologiques,
  • des infections ORL, broncho-pulmonaires, urinaires ou gynécologiques
  • des pathologies cutanées (urticaire, eczéma)

La plupart de ces pathologies résultent d’un encrassage de la plupart des organes provoquant alors une atteinte des systèmes cutané, rhumatologique ou neuropsychique.

Gotu Kola

La centella asiatica, aussi connue comme l’hydrocotyle asiatica ou gotu kola, est une plante herbacée vivace en forme d’éventail originaire de Chine, du Japon, de l’Inde et de l’Indonésie, les feuilles vertes sont récoltées et utilisées à des fins médicinales, la plante a une longue histoire d’utilisation dans la médecine traditionnelle, les chercheurs ont récemment pris une participation dans la plante pour ses bienfaits pour la santé, la centella asiatica a des propriétés antivirales, antibactériennes et anti-inflammatoires, elle est traditionnellement utilisée comme un traitement pour les troubles cutanés tels que le psoriasis, la dermatite, et les brûlures légères.

Infusion. 1 cuillerée à café pour une tasse 2 à 3 fois par jour.



Aunée

L’herbe est de l’ ancienne réputation médicinale, ayant été décrit par Dioscoride et Pline. Un vieux distique latin célèbre ses vertus: Enula campana reddit précordiale sana (Elecampane sera les esprits sustain). Julia Auguste, dit Pline, «laissez pas passer un jour sans manger quelques – unes des racines de Enula, considérés pour aider la digestion et provoquer la joie.» Les moines aussi estimés comme un cordial. Pline a affirmé que la racine ‘étant mâchée le jeûne, doth serrez les dents » , et Galen que« Il est bon pour les passions de l’hucklebone appelé sciatiques.

Dioscoride, en parlant de Castus racine, lié qu’il est souvent mélangé avec celui de Elecampane, de Kommagene (NW Syrie) (Castus, dérivée de Aplotaxis auriculata (DC), est remarquablement similaire à Elecampane, tant dans l’ aspect extérieur et de la structure. Il est une épice importante, de l’ encens et de la médecine dans l’est.)



 

Noyer (bourgeons)

Pour protéger la flore intestinale

Le Noyer permet une régulation de la flore intestinale. Son action va permettre une restauration de la muqueuse intestinale après des traitements antibiotiques ou de diarrhées. Il régule également le fonctionnement foie / pancréas et est conseillé los d’intolérances alimentaires. Il constitue également un complément lors de la prise de probiotiques.

  • Il est conseillé de pendre, par cures de 20 jours par mois, 15 gouttes midi et soir chez l’adulte, 1 goutte par 10 kilos de poids corporel chez l’enfant et 5 gouttes chez la femme enceinte.

Disponible en pharmacies et parapharmacies.
Demander conseil à votre pharmacien ou médecin.
Si les symptômes persistent consulter votre médecin.

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