Aux Vertus des Plantes
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Encyclopédie médicale

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Déprime ou dépression

Les manifestations dépressives légères et transitoires ou « déprime » regroupent un ensemble de symptômes où l’on retrouve une baisse de l’intérêt pour les tâches quotidiennes, une tristesse, des troubles du sommeil (une insomnie le plus souvent), des troubles de l’appétit (boulimie ou anorexie), des troubles d’humeur (plutôt de l’irritabilité). Mais ces symptômes n’ont pas la gravité d’une dépression vraie ou caractérisée. Ils durent peu, quelques jours, une à deux semaines au plus. Le retour à des sentiments plus optimistes est généralement rapide. Au delà de deux semaines de déprime permanente, il faut se poser la question d’une dépression durable c’est-à-dire de l’entrée dans une maladie dépressive.

Risques

Le risque principal des états dépressifs légers et transitoires est d’évoluer en dépression durable caractérisée, d’autant plus qu’il existe des facteurs de risque comme la vie solitaire : veuvage, divorce, séparation (Facteurs de risque des épisodes dépressifs en population générale, DREES 2006). La dépression nerveuse est une véritable maladie mentale qu’il faut traiter médicalement. Il est donc important de comprendre que des manifestations dépressives légères et transitoires ne sont pas à prendre à la légère.
La dépression est la première cause de suicide : près de 70% des personnes qui décèdent par suicide souffrent d’une dépression, le plus souvent non diagnostiquée ou non traitée (Livret INPES, En savoir plus pour en sortir, 2007). Les décès par suicide ont tendance à diminuer (-10% chez les hommes entre 2000 et 2006 et -6% chez les femmes), mais pas dans toutes les classes d’âge. Le taux de suicide des 45-54 ans a augmenté : de façon modérée pour les femmes (+2,2% entre 2000 et 2006) et plus soutenue pour les hommes (+8%) (L’état de santé de la population en France, DRESS, 2011).

The mild and transient depressive symptoms or “blues” are a group of symptoms which found a decline of interest in daily activities, sadness, sleep problems (insomnia more often), disorders of the appetite (anorexia or bulimia), mood disorders (rather irritability). But these symptoms do not have the gravity of a real or major depression. They had just a few days, one to two weeks. The return to more optimistic feelings is usually quick. Beyond two weeks of permanent depression, one must ask the question of a lasting depression that is to say, entering a depressive illness.

Risks

The main risk of mild and transient depression is to evolve into lasting depression characterized, especially that there are risk factors such as the solitary life: widowhood, divorce, separation (episodes of depression risk factors in the general population , DREES 2006). The depression is a real mental illness that must be treated medically. It is therefore important to understand that in mild and transient depressive symptoms are not to be taken lightly.
Depression is the leading cause of suicide: almost 70% of people who die by suicide are suffering from depression, often undiagnosed or untreated (INPES booklet, More to come out, 2007). Suicide deaths tend to decrease (-10% for men between 2000 and 2006 and 6% in women), but not in all age groups. 45-54 age suicide rate has increased: moderately for women (+ 2.2% between 2000 and 2006) and sustained for men (8%) (The health status of the population in France, DRESS, 2011).

Nervous breakdown – Dépression nerveuse

Au travers du terme « dépression » se cachent différentes formes de syndromes dépressifs :
• Le syndrome dépressif typique (ou encore épisode dépressif majeur), forme plutôt brève de dépression, d’intensité variable, avec des trouble évoluant depuis plus de 15 jours.
• Le trouble dysthymique, forme atténuée de dépression mais évoluant depuis plus de 2 ans avec une répercussion sociale importante
• La dépression rattachée à un trouble bipolaire, maladie psychiatrique chronique définie par une variabilité extrême de l’humeur alternant entre états dépressifs et maniaques.

Causes

Les zones du cerveau qui gèrent l’humeur, les émotions et l’affectivité fonctionnent mal (système limbique). Comme elles sont liées aux zones qui gèrent la mémoire, les apprentissages, et qui traitent l’information et lui donne sens (cognition), la dépression entraîne aussi des troubles de la mémoire, des apprentissages et de l’intellect.
On constate des perturbations de la sécrétion des messagers chimiques neuronaux qui modulent les émotions : la sérotonine en particulier. De telles perturbations neurochimiques sont possibles (mais pas systématiques) lors de la prise de certains médicaments, en tant qu’effets indésirables. Les plus connues de ces prescriptions sont les bêtabloquants, les anti-ulcéreux (anti-H2), la méthyl-dopa (contre la maladie de Parkinson), ou les corticoïdes et les neuroleptiques…

Through the term “depression” lurk various forms of depressive syndromes:
• The typical depressive syndrome (or major depressive episode) form rather brief depression of variable intensity, with disorder lasting for more than 15 days.
• The dysthymic disorder, depression attenuated form, but evolving for over 2 years with a major social impact
• Depression linked to bipolar disorder, chronic psychiatric illness defined by an extreme variability of mood alternating between manic and depressive states.

Causes

The areas of the brain that manage mood, emotions and affectivity malfunctioning (limbic system). As they relate to areas that support memory, learning, and that process information and gives it meaning (cognition), depression also leads to impaired memory, learning and intellect.
It is observed disturbance of the secretion of neural chemical messengers that modulate emotions especially serotonin. Such neurochemical disturbances are possible (but not systematic) when taking certain medications, bills undesirable. The best known of these requirements are beta-blockers, anti-ulcer (H2 blockers), methyl-dopa (against Parkinson’s disease) or corticosteroids, and neuroleptics …

Itchy skin – Démangeaison de la peau

Le prurit est le terme médical pour caractériser la démangeaison de la peau, qui conduit à se gratter pour apaiser la sensation désagréable. La « grattouille » est due à la stimulation de certains récepteurs nerveux de la peau, par des substances comme l’histamine. Cette libération locale de substances excitatrices n’a pas toujours de cause évidente : un prurit peut exister sans qu’il y ait de lésion dermatologique.

Causes

Lésion cutanée
Le prurit peut accompagner une lésion cutanée. Il « suffit » au patient, ou au médecin, de la reconnaître pour connaître la cause du prurit

Prurit Sensation de démangeaisons cutanées dont les causes peuvent être diverses : maladie de peau, signe d’une affection générale, ou pouvant survenir sans cause identifiable (prurit sine materia).

et la traiter en conséquence. Les situations les plus fréquentes sont l’eczéma atopique, l’urticaire (allergie alimentaire, de contact, médicamenteuse, ou par piqûres d’insectes), infections cutanées par des champignons (dermatophyties), la gale (maladie très contagieuse causée par le sarcopte et favorisée par une mauvaise hygiène), les coups de soleil (lucite estivale), les piqûres d’insectes, ou encore des allergies à certains médicaments (toxidermies médicamenteuses), enfin la varicelle.

Maladies du foie
En l’absence de lésion cutanée, on recherche d’autres causes organiques générales, comme des maladies du foie. La cholestase hépatique (bile bloquée, mal produite ou mal évacuée vers l’intestin) provoque l’accumulation des sels biliaires dans le sang, accumulation qui s’exprime par un prurit et une jaunisse de la peau. L’insuffisance rénale, certains cancers, leucémies ou lymphomes, maladies de la thyroïde ou des glandes parathyroïdes, l’infection par le VIH, ou les infections parasitaires, provoquent aussi des démangeaisons cutanées.

Peau sèche
Si toutes ses causes organiques ont été éliminées, on retiendra une peau sèche (xérose cutanée), particulièrement lors de l’avance en âge : la peau vieillissante (sénile) réagit plus souvent par une démangeaison à toutes sortes d’agression.

Psychologique
Enfin, en dernier recours, on évoque un « prurit psychogène », c’est-à-dire dû à la tension psychologique. Ce qui n’est pas le plus facile à soigner…

Itching is the medical term to describe the itching of the skin, which leads to scratching to soothe the discomfort. The “Scratch’n” is due to the stimulation of certain nerve receptors in the skin, with substances such as histamine. This local release of excitatory substances not always obvious cause: itching can exist without dermatological lesions.

Causes

Skin lesion
Itching may accompany a skin lesion. He “enough” to the patient or physician, to recognize it for the cause of pruritus

Itching sensation of itchy skin, the causes can be diverse: skin disease, indicating a general affection, or can occur without identifiable cause (pruritus sine materia).

and treat it accordingly. The most common situations are atopic eczema, urticaria (food allergy, contact, medication, or insect bites), skin infections by fungi (dermatophytes), scabies (highly contagious disease caused by the mite and favored by poor hygiene), sunburn (summer light eruption), insect bites, or allergies to certain drugs (drug toxidermia) finally chickenpox.

Liver Diseases
In the absence of cutaneous lesions, one research other general organic causes, such as liver disease. Hepatic cholestasis (blocked bile, poorly produced or incorrectly evacuated to the intestine) causes the accumulation of bile salts in the blood accumulation which is expressed by itching and jaundice of the skin. Kidney disease, certain cancers, leukemias or lymphomas, diseases of the thyroid or parathyroid glands, HIV infection, or parasitic infections, also cause skin itching.

Dry skin
If all organic causes have been eliminated, dry skin (cutaneous xerosis) we note, especially when advancing age: aging skin (senile) reacts usually by an itch to all kinds of aggression.

Psychological
Finally, as a last resort, it evokes a “psychogenic pruritus”, that is to say, due to the psychological tension. This is not the easiest to treat …

Related macular degeneration age – Dégénérescence maculaire liée à l’age

La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) débute après l’âge de 50 ans. C’est une maladie dégénérative de la rétine. Elle atteint sa partie centrale appelée « macula ». On en distingue deux formes : atrophique (amincissement de la macula) et exsudative (formation de néovaisseaux).

Risques / Causes
La DMLA peut aboutir à une perte de la vision centrale, celle de l’acuité visuelle (perception des détails) : lecture, conduite, reconnaissance des visages… C’est une cécité limitée au centre du champ de vision, mais de ce fait très invalidante. Elle toucherait un million de personnes en France.

La DMLA n’a pas une cause unique, mais plusieurs :

L’âge
-Le risque d’avoir une DMLA passe de 1 % entre 50 et 55 ans, à 25 % à 75 ans.

Le tabac
– Fumer multiplie par 6 le risque de développer la maladie

L’alimentation
– une alimentation pauvre en légumes verts, en fruits frais et en poissons gras. L’obésité semble aussi jouer un rôle favorisant
Prédisposition génétique
– Avoir des personnes atteintes de DMLA dans sa famille multiplie le risque par 4.

The macular degeneration (AMD) begins after the age of 50. It is a degenerative disease of the retina. It reaches its central portion called “macula”. We distinguish two forms: atrophic (thinning of the macula) and exudative (neovascular formation).

Risks / Causes

AMD can lead to loss of central vision, that of visual acuity (perception of details): reading, driving, face recognition … This is a limited blindness in the center of the visual field, but therefore very disabling. It would affect a million people in France.
AMD does not have a single cause, but several:
Age
-The Risk of AMD increased from 1% between 50 and 55 years, 25% at 75 years.
Tobacco
– Smoking multiplies by six the risk of developing the disease
Power
– A diet low in green vegetables, fresh fruit and fat fish. Obesity also seems to play a supporting role
Genetic predisposition
– Have people with AMD in the family increases the risk by 4.

Tear of the medial meniscus – Déchirure du ménisque médian

Les ménisques sont des structures faites de fibres et de cartilage situées entre les cartilages du fémur et du tibia. On en dénombre 2 par genou, un ménisque interne et un ménisque externe. Ils ont un rôle essentiel dans la protection du cartilage et dans la stabilité du genou. On distingue les lésions du ménisque médian ou interne et les lésions du ménisque externe. La déchirure du ménisque médian (ou interne) est une pathologie très fréquente qui se rencontre aussi bien après un traumatisme sportif que chez le sujet plus âgé, à la faveur de mouvements quotidiens (accroupissement ou torsion en pivot) ou de phénomènes dégénératifs.

Risques / Causes

Les déchirures du ménisque médian sont 5 fois plus fréquentes que les lésions du ménisque externe.

À terme, les déchirures et la méniscectomie, qui consiste à enlever le ménisque lésé, entraînent une usure prématurée du cartilage avec un risque d’arthrose.

La déchirure méniscale n’est pas seulement une lésion du sportif ; elle peut aussi survenir dans la vie quotidienne ou professionnelle (travailleurs à genoux ou accroupis, par exemple carreleurs ou plombiers).
Les déchirures du ménisque, surtout médian, peuvent s’accompagner de lésions ligamentaires.

Les ménisques sont des cartilages fibreux en forme de demi-lune ou de « C » pour le ménisque médian. La corne postérieure est la plus volumineuse et participe à la stabilisation du genou (notamment dans la rotation externe du tibia lors d’une flexion).
Les déchirures ou ruptures du ménisque médian sont souvent la conséquence d’un traumatisme par rotation, ou lors d’un accroupissement en forte flexion où le ménisque se cisaille au moment de se relever.

La méniscectomie est l’ablation, le plus souvent sous arthroscopie, d’un ménisque gênant ou lésé.

The menisci are structures made of fibers and cartilage located between the cartilage of the femur and the tibia. One counts 2 through knee medial meniscus and a lateral meniscus. They have a critical role in cartilage protection and stability of the knee. One distinguishes lesions median or medial meniscus and the lateral meniscus lesions. Tearing the medial meniscus (or internal) is a very common condition that also occurs well after a sports injury that in the older subject, thanks to daily movements (squatting twist or pivot) or degenerative phenomena.

Risks / Causes

Tearing the medial meniscus are 5 times more common than lateral meniscus lesions.

Ultimately, tears and meniscectomy, which involves removing the injured meniscus causes excessive wear of the cartilage with a risk of osteoarthritis.

The meniscal tear is not only the sports injury; it can also occur in daily or professional life (kneeling or squatting workers, such as plumbers and tilers).
The tears of the meniscus, above the median, may be associated with ligament injuries.

The menisci are fibrous cartilage in the shape of a half moon or “C” for the median meniscus. The dorsal horn is more bulky and contributes to stabilization of the knee (particularly in external rotation of the tibia during flexion).
Rips or tears of the medial meniscus are often the consequence of a trauma rotation, or during a squat high flexural shears where the meniscus at the time to get up.

The meniscectomy is the removal, most often arthroscopic, a troublesome or injured meniscus.

Female cystitis and urinary tract infections – Cystites et infections urinaires féminines

Les cystites sont des inflammations de la vessie, le plus souvent causées par des bactéries, plus rarement par des virus, des champignons, ou des parasites. Certaines, rares, sont liées à des maladies auto-immunes.

Les cystites sont fréquentes chez les femmes, dont l’anatomie favorise la colonisation bactérienne rétrograde de leur vessie par les microbes du tube digestif (anus).
Les cystites sont dites « aiguës simples » quand les patients ne présentent que des signes vésicaux d’apparition brutale. Elles sont dites compliquées lorsqu’existent des signes de gravité ou des complications.

Les cystites aiguës sont dites récidivantes lorsqu’on en souffre trois fois et plus dans une année, lorsqu’on recense 2 autres épisodes dans les 6 derniers mois, ou que le dernier épisode remonte à moins de 3 mois.

Les cystites interstitielles sont des inflammations durables de la paroi vésicale, par altération cellulaire et dégradation de la protection locale, sans précision des causes.

Les cystites à « urines claires » sont des inflammations sans infection. Elles pourraient représenter quatre cystites sur dix en consultation médicale de ville (Etude BaCyst, Journées Nationales d’Infectiologie, 2011).

Risques

Très peu de données épidémiologiques pour une pathologie qui selon les spécialistes toucherait une femme sur deux au cours de sa vie (Collège universitaire des enseignants en néphrologie, 2011). Les cystites représentent la deuxième localisation infectieuse en médecine générale, après les infections respiratoires.

Leur répercussion sur la qualité de vie est nette en raison de la douleur, surtout si ces infections se répètent. Leur fréquence augmentant avec l’activité génitale, elles peuvent freiner la vie sexuelle considérablement.

Les cystites infectieuses peuvent se compliquer, par extension de l’infection aux reins, la pyélonéphrite, puis par passage dans le sang (septicémie). La pyélonéphrite provoque de la fièvre (38-39°), des frissons, une douleur lombaire brutale du côté du rein atteint. La pyélonéphrite non soignée fait courir un risque de détérioration définitive du rein atteint. C’est une urgence médicale.

Une cystite chez un homme est en soi une cystite compliquée, car son anatomie fait normalement obstacle à l’infection.
Une cystite chez la femme enceinte et la femme ménopausée est compliquée d’office. Elle requiert une prise en charge médicale rapide.

Les autres facteurs de gravité permettant de parler de cystite compliquée sont :

– la rechute précoce moins de 7 jours après le traitement d’une précédente cystite et les récidives fréquentes ;
– la présence de sang visible dans les urines (autres diagnostics à évoquer impérativement) ;
– les anomalies de l’appareil urinaire (reflux urétéral, etc.) ;
– les maladies associées favorisant l’infection (diabète, cancer, immunodépression, maladie de foie) ;
– les calculs dans la vessie ou les reins.

Cystitis are bladder inflammation, usually caused by bacteria, more rarely by viruses, fungi, or parasites. Certain, rare, are related to autoimmune diseases.

Cystitis are common in women, whose anatomy promotes bacterial colonization of their retrograde bladder by microbes of the digestive tract (anus).
Cystitis are called “single severe” when patients have only bladder signs of sudden onset. They are called complex where viable signs of severity or complications.

Acute cystitis is called recurrent when it suffers three or more times in a year, when two lists other episodes in the last six months, or the last episode goes back less than three months.

Interstitial cystitis are durable inflammation of the bladder wall, by cellular damage and degradation of local protection, unspecified causes.

Cystitis to “clear urine” is inflammation without infection. They could represent four ten cystitis city medical consultation (Study BaCyst, National Days of Infectious Diseases, 2011).

Risks

Very few epidemiological data to a condition that according to specialists affect one in two women in his life (University College Teachers nephrology, 2011). Cystitis is the second infectious localization in general medicine, after respiratory infections.

Their impact on the quality of life is clear due to pain, especially if these infections are repeated. Their frequency increases with genital activity, they can stop the sexual life considerably.

Infectious cystitis may be complicated by extension of kidney infection, pyelonephritis, and then by passing through the blood (sepsis). Pyelonephritis causes fever (38-39 °), chills, back pain brutal side of the affected kidney. The untreated pyelonephritis poses a risk of permanent damage kidney reached. This is a medical emergency.

Cystitis in a man is in itself a complicated cystitis because its anatomy normally prevent infection.
Cystitis in pregnant women and postmenopausal women is complicated automatically. It requires taking rapid medical care.

Other factors of gravity to speak of complicated cystitis are:

– Early relapse within 7 days after treatment of a previous cystitis and frequent recurrences;
– The presence of visible blood in the urine (other diagnoses to evoke essential);
– Abnormalities of the urinary tract (ureter reflux, etc.);
– Associated diseases favoring infection (diabetes, cancer, immunosuppression, liver disease);
– Calculations in the bladder or kidneys.

Curithérapie

La curiethérapie (ou brachythérapie) est une forme de radiothérapie, c’est-à-dire une stratégie thérapeutique qui utilise des rayons ionisants de forte énergie pour détruire les cellules cancéreuses. La curiethérapie est une radiothérapie dite « interne »: les rayonnements sont émis par une source qui est introduite sur le site même de la tumeur. Cette approche peut être utilisée seule ou en association avec la chirurgie et/ou la chimiothérapie, selon la nature de la tumeur et son évolution.

Effets secondaires

Les rayons ionisants ne font pas de distinction entre les cellules saines et les cellules cancéreuses. Il existe donc un risque d’altération des cellules saines à proximité de la zone traitée, qui peuvent se traduire en effets secondaires plus ou moins sévères. Le plus souvent, ils se limitent à l’apparition d’une irritation et/ou une douleur au niveau de la zone traitée. Dans le cas d’une curiethérapie d’un cancer de la prostate, des problèmes urinaires peuvent apparaître. Ils sont transitoires et disparaissent progressivement.

Brachytherapy (or brachytherapy) is a form of radiotherapy, that is to say, a therapeutic strategy that uses high-energy ionizing radiation to destroy cancer cells. Brachytherapy is a radiotherapy called “internal” radiation is emitted by a source which is introduced on the site of the tumor. This approach can be used alone or in combination with surgery and / or chemotherapy, depending on the nature of the tumor and its evolution.

Side effects

Ionizing radiation does not distinguish between healthy cells and cancer cells. There is therefore a risk of damaging healthy cells near the treated area, which may result in more or less severe side effects. Most often, they are limited to the appearance of irritation and / or pain in the treated area. In the case of brachytherapy of prostate cancer, urinary problems may occur. They are transitory and disappear gradually.

suicidal crisis – Crise suicidaire

La crise suicidaire se définit comme une crise psychique majeure au cours de laquelle un passage à l’acte suicidaire est élevé. Cette crise suicidaire est caractérisée par une insuffisance des moyens de défense de la personne, qui la place en souffrance aiguë et en rupture d’équilibre relationnelle avec elle-même et son environnement. Cette crise suicidaire est réversible et temporaire ; elle dure de 6 à 8 semaines, mais en sortir ne veut pas dire que le risque suicidaire s’annule. Ce qui justifie une prise en charge ferme, rapide et de durée adaptée.

Risques

Le principal risque d’une crise suicidaire est par définition le passage à l’acte réussi, donc le décès. Le suicide est la première cause de décès chez l’homme de 25-44 ans. Il s’agit également de la deuxième cause de mortalité chez les 15-24 ans. Si les suicides de jeunes ont presque diminué de moitié entre 1993 et 2005, il reste cependant beaucoup de progrès à accomplir, d’après le Plan national d’actions contre le suicide (PNAS- 2011-2014). La mortalité par suicide reste très élevée en détention. Les détenus se suicident 6 fois plus que les hommes libres âgés de 15 à 59 ans. Après une baisse au début de la décennie, le nombre de décès par suicide tend à augmenter (109 en 2008 à 115 en 2009) toujours selon le PNAS- 2011-2014. Ce plan donne les informations les plus actuelles sur ce sujet.

En France, chaque année, plus de 10 000 personnes décèdent par suicide, soit environ 16 personnes sur 100 000, la France est en Europe parmi les pays à taux de mortalité élevé. Si le nombre de décès par suicide est connu grâce au CepiDC de l’Inserm avec toutefois une imprécision due à la sous-déclaration estimée à 20%, il n’en est pas de même des tentatives de suicide (TS). En effet, le nombre de tentatives de suicide fait encore l’objet d’estimations peu précises. En 2006, la Drees estime à environ 195 000 TS donnant lieu à un contact avec le système de soin chaque année. Par ailleurs, 10 660 décès ont été répertoriés dont 7.940 pour les hommes et 2.720 pour les femmes. Ces chiffres sont sans doute sous-évalués du fait du silence qui entoure ces drames, de 10 à 20% ce qui porterait le nombre effectif de suicides annuels jusqu’à 13.000.

Certaines tentatives de suicide liées aux blessures par armes à feu ne sont pas toujours recensées comme tentatives de suicide. Leur dépistage revêt une importance considérable puisque la tentative de suicide (TS) est le plus important des facteurs de risque de suicide connus. On estime le taux de mortalité des suicidants à 10 à 15 % ; près de la moitié des suicidés ont fait une ou plusieurs TS avant leur décès (Programme national d’actions contre le suicide 2011-2014).

Suicidal crisis is defined as a major psychotic episode during which a suicidal act the passage is high. This suicidal crisis is characterized by a lack of human defense, which puts it in acute suffering and out of relational balance with itself and its environment. This suicidal crisis is reversible and temporary; it lasts 6 to 8 weeks, but out does not mean that the risk of suicide is canceled. What justifies a firm support, fast and suitable duration.

Risks

The main risk of a suicidal crisis is by definition the successful passage to the act, so the death. Suicide is the leading cause of death in men aged 25-44. It is also the second leading cause of death among 15-24 year olds. If youth suicides have almost halved between 1993 and 2005, however there is still much progress to be made, according to the National Action Plan against suicide (PNAS- 2011-2014). Suicide mortality remains very high in detention. The inmates commit suicide 6 times more than free men aged 15-59 years. After falling at the beginning of the decade, the number of deaths by suicide tends to increase (109 in 2008 to 115 in 2009) still according PNAS- 2011-2014. This plan provides the most current information on this topic.
In France, each year more than 10,000 people die by suicide, or about 16 people per 100 000, France is among the European countries with high mortality rates. If the number of deaths by suicide is known from CépiDc Inserm but with an inaccuracy due to underreporting estimated at 20%, it is not the same with suicide attempts (TS). Indeed, the number of suicide attempts is still the subject of inaccurate estimates. In 2006, Drees estimated that around 195,000 TS resulting in contact with the care system each year. Furthermore, 10 660 deaths were recorded with 7940 for men and 2720 for women. These figures are probably underestimated because of the silence surrounding these tragedies, of 10-20% which would bring the actual number of annual suicides up to 13,000.
Some suicide attempts related to firearm injuries are not always identified as suicide attempts. Their screening is of considerable importance since the suicide attempt (TS) is the most important known risk factors for suicide. The estimated mortality rate of suicide attempters at 10-15%; nearly half of the suicides have one or more TS before their death (National Action Programme against suicide 2011-2014).

Whiplash – Coup du lapin

Le « coup du lapin » est un traumatisme cervical résultant le plus souvent d’un brutal changement de vitesse (accélération, décélération). Plutôt que de parler de coup du lapin, les Anglo-Saxons préfèrent parler de traumatisme cervical en « coup de fouet » (whiplash).
Le plus souvent, le traumatisme cervical est mineur, sans lésion de la colonne vertébrale. Une entorse cervicale, aux conséquences parfois graves, est cependant systématiquement recherchée

Risques

Les traumatismes cervicaux ou coups du lapin sont responsables de plaintes fréquentes après un accident de la circulation, même à faible vitesse. Douleurs, raideur cervicale peuvent devenir chroniques. C’est pour cette raison que le coup du lapin est un motif récurrent de plaintes et d’expertises dans des pays où le niveau de protection sociale et d’indemnisation est élevé.

Les enfants sont également concernés, avec 3,3 % des victimes d’accidents de la voie publique (passagers de voitures) présentant une ou plusieurs limitations suite au coup du lapin. (1)

The “whiplash” is neck trauma resulting most often a brutal speed change (acceleration, deceleration). Rather than speaking of whiplash, the Anglo-Saxons prefer to speak of whiplash in “boost” (whiplash).
Most often, the neck injury is minor, no spinal injury. Whiplash, with sometimes serious consequences, however, is systematically sought

Risks

Cervical trauma or strokes rabbit are responsible for common complaints after a traffic accident, even at low speed. Pain, stiff neck can become chronic. It is for this reason that whiplash is a recurring pattern of complaints and expertise in countries where the level of social protection and compensation is high.

Children are also affected, with 3.3% of accident victims from the public road (passenger car) having one or more limitations due to whiplash. (1)

Constipation

La constipation est un symptôme caractérisé par un retard, ou une difficulté à évacuer les selles. On parle de constipation quand il y a moins de trois selles par semaine et/ou quand les selles sont difficiles à évacuer (à exonérer, pour les médecins).
Elle est chronique quand elle dure depuis plus de 6 mois. Des selles liquides ne réfutent pas une constipation, qui s’établit scientifiquement sur un poids de selles quotidien inférieur à la moyenne : une vérification impossible en pratique.La constipation par ralentissement du transit digestif est la forme la plus fréquente.
La constipation « terminale », appelée dyschésie recto-anale, est un trouble de la seule évacuation des selles, au niveau du rectum et de l’anus. Il est fréquemment de combiner les deux troubles.
La constipation peut être la seule maladie (constipation idiopathique) ou être secondaire à une autre maladie.

Risques

Dans les pays occidentaux, la prévalence de la constipation se situe entre 15 et 20 % de la population. En France, une enquête réalisée dans la population générale sur les plaintes subjectives a trouvé une constipation chez 35% des interrogés, et une sensation d’évacuation incomplète chez 19% (Abrégé d’hépato-gastro-entérologie 2009 – ECN, Elsevier Masson). Les femmes sont plus sujettes que les hommes à cette plainte.

La constipation accompagne les toxicomanes : morphine, cocaïne et leurs dérivés sont puissamment constipants. La consommation de nombreux médicaments modifiant l’équilibre neuro-végétatif expose aussi à cet effet indésirable.

Elle peut à la longue entraîner des complications comme des fissures anales, des hémorroïdes, une faiblesse du périnée favorisant l’incontinence urinaire et/ou anale, et des troubles sexuels.

Le risque majeur est l’occlusion ou la sub-occlusion intestinale, non exceptionnelle chez les vieillards par formation d’un fécalome obstructif (accumulation rectale de selles dures qui ne peuvent être évacuées naturellement).
Chez les malades psychiatriques ayant des pulsions d’ingestion bizarres on peut voir des blocages digestifs sur des bézoards (boules de matières non digestibles : cheveux par exemple, ou matière plastiques). Chez ces malades, la prescription de médicaments neurotropes provoque aussi des occlusions sournoises quand le suivi médical est insuffisant.

Enfin, l’occlusion peut survenir sur un obstacle non ingéré, habituellement une tumeur du côlon (cancer), ou l’extension locale d’une tumeur abdominale.

Constipation is a symptom characterized by a delay or difficulty in evacuating stools. We speak of constipation when there are fewer than three bowel movements per week and / or when the stools are difficult to pass (to exempt, for doctors).
It is chronic when it lasts for more than six months. Loose stools do not refute constipation, which scientifically establishes a daily stool weight below average: an impossible verification pratique.La constipation slower digestive transit is the most common form.
Constipation “terminal”, called dyschezia recto-anal, is a disorder of the only evacuation of stool in the rectum and anus. It is frequently combine the two disorders.
Constipation may be the only disease (idiopathic constipation) or be secondary to another disease.

Risks

In Western countries, the prevalence of constipation is between 15 and 20% of the population. In France, a survey of the general population on the subjective complaints constipation found in 35% of respondents, and a sensation of incomplete evacuation in 19% (Epitome of Hepato-Gastroenterology 2009 – ECN Elsevier) . Women are more prone than men to this complaint.

Constipation accompanying drug morphine, cocaine and derivatives thereof are powerfully constipating. The consumption of many drugs affecting the autonomic balance also exposed to this adverse effect.

It can eventually lead to complications such as anal fissures, hemorrhoids, weakness perineal promoting urinary incontinence and / or anal and sexual disorders.

The major risk is the occlusion or intestinal sub-occlusion, not exceptional in old people by forming an obstructive fecal impaction (rectal accumulation of hard stool that can not be removed of course).
Among psychiatric patients who swallowed bizarre impulses can be seen digestive blockages on bezoars (balls of indigestible materials: for example hair, or plastic material). In these patients, prescription neurotropic drugs also causes occlusions sneaky when health surveillance is insufficient.

Finally, the occlusion may not occur on a barrier ingested, usually colon tumor (cancer), or the local expander abdominal tumor.

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